Peer to Peer Lending : relier les investisseurs aux entreprises israéliennes

Une nouvelle opportunité offre aux épargnants la possibilité d’investir en shekel dans l’économie israélienne. Be The Bank, une fintech en plein essor en Israël de financement participatif, ou peer to peer lending, permet aux investisseurs de participer directement au développement d’entreprises et entrepreneurs.

Le financement participatif, une alternative aux banques

Les placements classiques ne correspondent plus totalement aux exigences des investisseurs, tant en matière de rendement que d’impact. Ces derniers font part d’une volonté de plus en plus marquée de donner du sens à leur épargne.

Pourtant, cette dernière continue d’abonder en cette période de crise. Depuis le premier confinement (mi-mars 2020) jusqu’à fin mars 2021, la Banque de France estime à 142 milliards d’euros l’épargne des Français. Rien qu’en avril 2021, près de 3,8 milliards d’euros ont été collectés sur les livrets A et LDDS, d’après la Caisse des Dépôts.

Faire le choix de sécuriser son patrimoine face à un avenir incertain rassure les investisseurs. Nombreux sont ceux qui préfèrent, à l’inverse, participer activement à l’économie réelle. Ils s’orientent ainsi vers de nouvelles classes d’actifs, et notamment les plateformes de financement participatif, qui ont connu un grand succès.

Ce mode alternatif de financement consiste, selon le Centre de documentation Économie Finances, en « un échange de fonds entre individus en dehors des circuits financiers institutionnels, afin de financer un projet via une plateforme en ligne ». Il s’agit d’intermédiaires, de porteurs de projets organisant des levées de fonds. Ulule ou Leetchi en sont des exemples.

En France, de telles plateformes ont collecté 1,02 milliard d’euros en 2020, en croissance de 62% par rapport à l’année précédente, d’après le baromètre de référence du financement alternatif en France publié récemment par Mazars et l’association Financement Participatif France (FPF). Trois types de crowdfunding (littéralement « financement par la foule » en anglais) existent. Tout d’abord le don, l’investissement en capital (crowdequity) et enfin le prêt participatif (crowdlending ou peer to peer lending).

Ce dernier consiste à lever des fonds qui sont par la suite distribués à des personnes physiques ou morales, contre remboursement du capital avec intérêts. Le taux d’intérêt (« interest rates ») peut varier notamment en fonction de la réussite du projet. En Europe, le leader dans le domaine du peer to peer (P2P) lending est Mintos.

Le P2P lending élargit le champ des opportunités. Cette nouvelle classe d’actifs permet en effet à des particuliers de financer des projets d’avenir.

C’est ce que propose une plateforme Peer to Peer pionnière en Israël. Celle-ci permet de connecter les investisseurs à des entreprises israéliennes ayant une activité depuis au moins deux ans et souhaitant la développer.

Baptisée Be The Bank, cette plateforme de financement a été fondée en 2014 par d’anciens hauts responsables de principales banques israéliennes (Discount, Leumi). Elle est aujourd’hui régulée par l’autorité de la Bourse et des Assurances, dans le cadre de la loi d’Inspection des Services Financiers.

Be The Bank, ou participer au développement de l’activité économique en Israël

Durant la crise sanitaire, l’activité économique mondiale a été soumise à rude épreuve. Les entreprises en ressentent encore aujourd’hui les effets. On ne compte plus les entreprises qui ont, fatalement, connu de grosses difficultés financières jusqu’à faire faillite.

Israël fait figure d’exception. La Terre promise peut se targuer d’avoir mené de main de maître sa campagne de vaccination. Limitant l’arrêt de l’activité économique particulièrement dans le domaine de la tech, cette vaccination quasi militaire lui a valu un rapide redressement économique.

Les prévisions économiques sont de plus très optimistes. Lors d’une conférence de presse début mai, le gouverneur de la Banque d’Israël Amir Yaron a déclaré que la croissance fin 2022 ne devrait être inférieure que de 1,4 % à son niveau d’avant-crise. Il reste ainsi au pays d’Abraham plus d’un an pour effacer quasiment l’impact du coronavirus sur son niveau de PIB.

L’activité économique rattrape donc son retard. Et les PME israéliennes ont d’autant plus besoin de financement, faute de fonds propres suffisants. Elles s’adressent principalement aux banques, mais il peut également être intéressant pour elles de se tourner vers des plateformes de peer-to-peer lending. Ces intermédiaires en financement participatif sont intéressantes car, en faisant appel à l’épargne privée, elles augmentent de cette façon leur capacité de financement.

Il est cependant essentiel de faire face aux risques de défaillance des entreprises emprunteuses.

C’est pourquoi la plateforme Be The Bank opère une sélection scrupuleuse parmi ces PME fondées avant la crise sanitaire. Elles sont passées au peigne fin ; analysées puis filtrées par une commission de crédit. Be The Bank peut compter sur ses fondateurs, d’importants acteurs issus du milieu bancaire israélien, pour évaluer finement les risques des entreprises inscrites sur cette plateforme de peer-to-peer lending, tant sur le plan privé que le plan professionnel.

Ces dernières doivent ainsi remplir de nombreux critères afin de pouvoir bénéficier d’un tel prêt. Pour certaines, un garant est obligatoire. À ce jour, sur BTB, seul 9 % des entreprises inscrites a eu le privilège d’être référencé.

Les sommes investies par les épargnants seront destinées à des PME, tous secteurs confondus. Ce qui favorisera alors le développement de l’activité de ces entreprises israéliennes.

Cette nouvelle solution d’épargne en NIS permet aux investisseurs de prêter des fonds simultanément à plusieurs entreprises inscrites, de manière plafonnée. Cet investissement moyen terme procurera des coupons bruts de 6,5 %(moyenne annuelle). Ces derniers sont versés tous les mois. Il est de plus possible de capitaliser les intérêts.

Au premier trimestre 2021, la plateforme comptait plus de 1000 entreprises et 5000 épargnants. Le montant investi s’élevait quant à lui à plus de 800 millions de shekel (environ 200 millions d’euros).

Pallier le défaut de paiement des entreprises en P2P 

Puisqu’il s’agit d’une dette privée, le risque de défaut de paiement est plus élevé. Il peut donc arriver que des entreprises n’arrivent pas à tenir leurs engagements. Pour y faire face, plusieurs mécanismes de protection sont mis en place.

Tout d’abord, une caisse de caution mutuelle, à laquelle les investisseurs participent, est prévue. Cette caisse a pour but de payer le capital avec un taux d’intérêt si une telle situation venait à se présenter. Elle a, depuis sa création, pu y pallier, malgré un taux de défaut historique de 2,59 %.

Ensuite, la totalité du capital investi n’est jamais placée sur une seule entreprise. Les sommes déposées sont réparties de façon automatique sur plusieurs centaines de prêts. Elles ne dépasseront pas 2 % par entreprise. Cette diversification permet ainsi de diluer le risque.

Une défense juridique peut enfin s’enclencher par la plateforme contre l’entreprise dans un tel cas.

Pour une meilleure garantie des remboursements, une option dite Gold assure un capital investi totalement garanti par des biens immobiliers hypothéqués ainsi que des garants.

À qui s’adresse le peer-to-peer ?

Ce type de financement participatif s’adresse aux épargnants souhaitant diversifier leur patrimoine à travers un placement liquide, au rendement intéressant, stable et régulier. Il peut s’agir également de particuliers désireux de préparer leur retraite grâce à des revenus complémentaires, obtenus sur la durée. Enfin, ce placement ne demande aucun souci de gestion.

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    Assurance épargne : sécuritaire, mais pas seulement

    La gestion de ses actifs financiers est un sérieux enjeu patrimonial pour un ole hadach de même que pour un israélien d’origine. Les solutions adaptées aux besoins des familles sont souvent peu ou mal connues. Pour être pertinente, une solution d’épargne doit assurer un complément de revenus à l’épargnant au terme d’une période prédéfinie. Elle doit surtout établir une cohérence entre les rendements perçus et le lieu de résidence en termes de change.

    En ces périodes perturbées où la volatilité sur les marchés financiers est la plus haute jamais constatée, le bon sens est devenu un impératif pour ses investissements. Les épargnants franco-israéliens sont investis, en proportion encore trop importante, en dollars. Malheureusement, cela ne correspond pas à la réalité de leur quotidien, surtout après une année 2020 au cours de laquelle le dollar a perdu plus de 7 %  face au Shekel.

    En Israël, l’Écosystème Assurantiel affiche des performances et une résilience, cette année encore, de grande qualité. L’un des principaux fonds de l’une des compagnies que nous suivons affiche 4 % par an sur les cinq dernières années (2020 inclus).

    Les compagnies d’assurances sont au centre du système d’épargne et de retraite privée et publique en Israël, fondées pour la plupart avant la création du pays comme par exemple : Harel, Migdal, Menora, CLAL, Haphoenix.

    Placement solide et diversifié

    placer son épargne

    Les portefeuilles proposés par les compagnies se présentent comme des placements solides en Israël avec une allocation diversifiée et un risque maitrisé. Donnant accès à des produits exclusifs, jusque-là réservés aux institutionnels, comme des fonds non cotés prenant part dans des projets d’infrastructures israéliens (routes, stations d’énergie, etc…) et des projets de constructions immobilières.

    Autre avantage, les établissements assurantiels israéliens peuvent, sous certaines conditions, nantir la police d’assurance pour octroyer un prêt à l’épargnant à taux préférentiel.

    Cette solution évite d’effectuer des retraits sur le portefeuille, source éventuelle de fiscalité, et permet à l’épargne de continuer à fructifier jusqu’au remboursement du prêt.

    Nos convictions chez Herez

    • Performance en Shekel régulière
    • Liquidité de son épargne
    • Moins coûteux que le compte-titres classique
    • Actif diversifié et exclusif

     

    Il est essentiel d’avoir une épargne dans une compagnie d’assurance locale en Shekels afin de réduire le risque de change. Herez Israël accompagne les familles dans le choix de leurs placements s’inscrivant dans une stratégie patrimoniale globale sur mesure.

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      Israel Valley : Histoire d’une success story

      Depuis qu’Israël a été surnommée Start Up Nation par le livre éponyme de Dan Senor et Saul Singer paru pour la première fois en 2009, le pays a enregistré 587 exits. Et Israel Valley (עמק יזרעאל) représente un total cumulé de 70.8 milliards de dollars (entre 2010 et 2019).

      Les données établies par l’organisation Start-Up Nation Central dénombre aujourd’hui en Israël plus de 6.400 start-ups.

      Le site TechCrunch estimait lui que sur 500 licornes répertoriées dans le monde (entreprises valorisées a plus de 1 milliard de dollars), 30 ont été fondées par des entrepreneurs israéliens.

      Fonds de Private Equity - Herez Israel spécialiste de la gestion de patrimoine et de fortune

      Israël Valley en chiffres

      Nous pouvons citer Tanium (software et cybersécurité, valorisée à 9 milliards), Compass (immobilier, valorisée à 6.4 milliards) et Houzz (design d’intérieur, valorisée à 4 milliards). Evidemment aussi Mobileye propulsé par Intel au rang de laboratoire pour la conduite assistée et autonome, ou encore Mellanox Technologies racheté par Nividia en mars 2019 pour 6.9 milliards de dollars avec des garanties sur son indépendance.

      LA SILICON VALLEY du MOYEN ORIENT

      On parle d’Israël comme étant maintenant la Silicon Wadi (Vallée en arabe), semblable à la Silicon Valley, par la grande concentration d’industries de hautes technologies.

      Cette dernière est particulièrement élevée autour de Tel Aviv, notamment dans les villes de Herzilya, Ra’ananna, Petah Tikvah et Rehovot. Toutefois, d’autres villes et régions prennent de l’ampleur ces dernières années comme Jérusalem, Haïfa, Yokneam ou Beer Cheva qui est considérée maintenant comme la capitale de la Cybersécurité.  

      Le cas Mobileye

       Les observateurs attentifs de l’Israel Valley connaissent bien la société Mobileye, start-up basée à Jérusalem et rachetée en 2017 par l’américain Intel, pour la bagatelle de 15.3 milliards de dollars. Ce deal entre le concepteur de systèmes avancés d’assistance au conducteur (ADAS) et le géant de l’électronique reste à ce jour la plus grosse “sortie” pour une société israélienne.

      Depuis cette acquisition, Intel ne cesse de s’affirmer comme un acteur ambitieux du transport intelligent. Ceci encore plus depuis son rachat en mai 2020 de Moovit, autre start-up israélienne éditeur d’une application connectant le grand public avec des solutions de transports multimodal (bus, vélo, trottinette, taxi, voiture de location, co-voiturage, etc.).

      Avec pour objectif de devenir un fournisseur complet de mobilité, Intel Mobileye vise notamment le marché des robots taxis, valorisé à 230 milliards de dollars à horizon 2030. Voilà pour la success story

      Une pépite peut en cacher une autre : Connaissez-vous ORCAM ?

      Cette start-up israélienne high tech est la spécialiste de la vision assistée pour personnes malvoyantes. Elle a été fondée par les mêmes entrepreneurs à l’origine de Mobileye, Amnon Shashua et Ziv Aviram. Le principe est simple, intégrer une caméra dans une monture de lunette capable de déchiffrer du texte, de reconnaître des visages ou des billets de banque. Toutes les informations seront transmises de manière orale.

      Amnon Shashua et Ziv Aviram apportent la preuve avec Mobileye et Orcam que l’intelligence artificielle possède un champ d’application aussi vaste que prometteur. Ils révolutionnent les secteurs de la mobilité, de la médecine ou encore de la communication humaine.

      Accompagnement pour organiser votre patrimoine

      Les Starts up israéliennes : séduisantes dès leurs débuts

       

      Bien avant leurs exits, les startups israéliennes attirent aussi les investisseurs à des stades plus en amont, en encore en développement, notamment via des fonds de private equity en capital risque.

      Cette année 2020 bat encore le record de l’année passée 2019 avec 10,6 milliards de dollars levés contre 8,3 en 2019.

      La crise sanitaire a même été pour certains domaines un accélérateur.

      Bizzabo, Une plateforme qui organise des évènements virtuels ou physiques, a été élue startup de l’année par « Globes » pour 2020, et domine le classement des levées de fonds avec 138 millions de dollars effectué en décembre.

      D’autres exemples ont marqué l’année 2020, la société de sécurité cloud Wiz qui a levé 100 millions de dollars, la société de protection des données BigID qui a levé 70 millions de dollars, et la société de cybersécurité Orca qui a levé 55 millions de dollars.

      Chez Herez ISRAËL, notre rôle est de repérer aujourd’hui les opportunités de demain. Nous travaillons pour cela en étroite collaboration avec des fonds et des spécialistes de cet écosystème de premier rang. Afin de vous accompagner dans vos choix et vos investissements. Vigie du monde des affaires israélien, Herez offre à ses clients des produits diversifiés, sécurisés, pour des placements dans le domaine de l’assurance, l’immobilier, le private equity ou encore la gestion de comptes titres.

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        Entrée de FLORAC INVESTISSEMENTS au capital d’HEREZ

        Entrée de FLORAC INVESTISSEMENTS au capital d’HEREZ
        Florac société de participations fondée et présidée par Marie-Jeanne Meyer,
        actionnaire historique du groupe Louis Dreyfus entre au capital d’HEREZ

         

        Acteur indépendant du conseil en gestion de patrimoine depuis 25 ans, Herez accueille Florac Investissements comme nouvel actionnaire a hauteur de 23%, aux cotes des fondateurs, managers et salariés.

        Florac Investissements est une société de participations présidée par Marie-Jeanne Meyer, actionnaire historique du groupe Louis Dreyfus, et dirigée par Leopold Meyer. Cette société d’investissement fonctionne comme un family office et a pour vocation d’accompagner des entrepreneurs aux projets stratégiques ambitieux.

        Cette recomposition de l’actionnariat marque un nouvel élan pour Herez , lui donnant les moyens financiers d’accélérer sa stratégie de croissance dans la gestion privée, d’affirmer son positionnement et de continuer a faire de la relation avec ses clients une expérience unique.

        Pour sa part, avec cette entrée au capital de Herez, Florac Investissements marque ainsi son deuxième investissement en France depuis le début de l’année, portant a près de 20 le nombre de sociétés accompagnées depuis sa création en 2009.

        Patrick Ganansia, président et fondateur de Herez se félicite de l’arrivée de ce nouvel actionnaire et reconnait dans Florac Investissements,

        « un acteur du marché qui ressemble au groupe tant dans sa philosophie que dans ses convictions. »

        Laurent Perez, Directeur General et associe de Herez Israel poursuit

        « c’est un nouvel élan très fort nous permettant de façon pérenne de poursuivre notre développement et accélérer notre croissance en conservant l’esprit boutique qui nous anime depuis 5 ans. »

        Leopold Meyer, directeur général de Florac Investissements, est pour sa part

        « impressionné par la qualité des produits et services et par le professionnalisme des équipes, récompensés par une forte fidélité des clients »

        et d’ajouter être

        « convaincus du potentiel de croissance du groupe, porté par la croissance de l’épargne, et la consolidation de ce secteur encore très fragmenté. »

        Pourquoi investir en Israël ?

         

        Grace à des politiques monétaires, financières et budgétaires prudentes, l’économie israélienne affiche une croissance plus forte que la plupart des autres pays de l’OCDE depuis plus d’une décennie. Israël connait sa 16eme année consécutive de croissance économique.

        L’emploi progresse, l’inflation est maitrisée, l’excédent extérieur est confortable et les finances publiques se portent bien. Israël est donc devenu un pays très attrayant en termes d’investissement pour ses habitants ainsi que les étrangers.

        Voici les 10 bonnes raisons d’investir en Israël :

        • Fondamentaux économiques solides

        On observe une croissance stable du PIB autours de 3-4% ces dernières années, le taux de chômages ne progresse pas et reste à 4%. D’autre part, l’inflation s’accélère et passe de 0,2 à 0,9% (1,3% en 2019) et les taux d’intérêts directeurs de la banque d’Israel augmentent de 0,15 points.

        • Bonnes performances des indices boursiers locaux

        Les entreprises israéliennes, notamment dans la haute technologie et les start-ups, attirent de plus en plus d’investisseurs internationaux du fait de leurs performances.

        Le TA-125, indice boursier qui regroupe les 125 sociétés dont les capitalisations sont les plus élevées à la bourse de Tel Aviv, a augmenté de près de 10% en un an (dec. 2017 – dec. 2018). Il a surperformé ses homologues européens et américains ; l’EURO STOXX 5O a vu une baisse de 12% et le S&P 500, une hausse de 1% dans le même temps.

        Les opportunités d’investissements sont larges. Il est possible d’acheter des actions de multinationales telles que Teva, Elbit Systems ou Sodastream.

        Toutes les grandes sociétés s’implantent en Israël on parle de la Silicon Wadi, qui compte plus de sociétés cotées au Nasdaq que toute l’Europe réunie.

        • La Start-Up Nation

        On peut investir dans des start-ups ou d’autre sociétés non cotées dont le potentiel d’évolution est bien plus élevé. Les possibilités sont multiples et recouvrent tous les secteurs. En effet en Israël, on compte 1 start-up pour 1300 habitants contre 1 pour 7400 en France. Les géants américains y mettent le prix pour acquérir ces pépites israéliennes comme Intel qui acheta Mobileye pour 15 Md$ ou Google qui acheta Waze pour 1,1 Md$.

        Le pays investit 4,2% du PIB en R&D, c’est la plus grosse part investie dans ce domaine après la Corée du Sud, 4,3%. En France, on investit seulement 2,2% en R&D.

        Le succès est au rendez-vous. 11 licornes, start-ups valorisées à au moins 1 Md$ se situent en Israël contre seulement 3 en France et plus de 6,4 milliards de dollars ont été levés par les start-up israéliennes en 2018.

        Investissement dans Start-Up Nation Israel
        • Les fonds israéliens

        Il existe des fonds équivalents aux OPCVM françaises qui peuvent être achetés au moyen d’un compte-titres israélien.

        Cependant, les risques inhérents à ce type d’investissements nécessitent de faire appel à un professionnel qui en maitrise tous les rouages.

        L’imposition sur la plus-value d’un placement financier présent dans un compte-titres israélien s’élève à 25%.

        Pour un Olé Hadash, tout revenu provenant de l’étranger est exonéré d’impôt pendant dix ans ; les titres étrangers ne seront pas soumis à l’imposition sur la plus-value dans ce cas.

        • L’assurance épargne

        En Europe, et tout particulièrement en France, il peut être plus avantageux de gérer tout ou partie de son capital au moyen de l’assurances vie.

        En Israël, ce schéma existe aussi mais les critères de choix des supports de placements sont différents.

        Les contrats d’assurance épargne israéliens constituent une alternative à la gestion bancaire avec une fiscalité identique. Ils ont une attractivité particulière auprès des investisseurs désireux de réduire les risques au sein de leurs placements tout en assurant un niveau de performance convenable.

        Ce type d’épargne permets de diversifier les investissements dans l’économie israélienne ; toutes les classes d’actifs nécessaires à la construction d’une allocation diversifiée s’y retrouvent selon le niveau de risque souhaité.

        La fiscalité de ce type d’investissement est similaire à celle d’un compte-titres israélien. L’imposition sur la plus-value s’élève à 25% au moment du rachat.

        • L’immobilier, investissement solide

        Valeur refuge par excellence, l’investissement immobilier reste incontournable.

        Depuis 15 ans, les prix sont en hausse en Israël. Tout particulièrement à Tel Aviv où les biens ont vu une augmentation proche de 100%.

        Il y a la possibilité d’acquérir des biens en VEFA (Vente en état futur d’achèvement). Le promoteur a besoin de liquidités pour poursuivre la construction et l’acheteur qui a pour contrainte de recevoir l’appartement à une date future l’achètera à moindres coûts.

        • Tama 38

        Acheter des biens immobiliers dans un immeuble éligible au Tama 38 est une alternative qui permettra de profiter d’une importante plus-value. En effet ce programme de l’état a été mis en place pour protéger ses résidents, renforcer ses bâtiments et augmenter le nombre de logements dans le pays à des prix inférieurs car le promoteur n’aura pas à acheter le terrain.

        Le Tama 38/1 qui consiste à renouveler et mettre aux normes des immeubles existants.A la fin du projet, les résidents bénéficient souvent d’une pièce supplémentaire, un nouvel ascenseur, un renouvellement de la façade, une infrastructure mise à jour (canalisations d’eau, conduites de gaz, …), une meilleure sécurité du bâtiment et bien plus encore.

        Le Tama 38/2, aussi appelé « Pinouy Binouy », permets à tout bâtiment qui n’est pas aux normes d’être démoli puis reconstruit.

        Dans les deux cas, les propriétaires voient généralement leur bien augmenter de 20 à 30%.

        L’entrepreneur, quant à lui, prend en charge toutes les démarches, construit généralement 2,5 étages supplémentaires et mets en vente les appartements ajoutés à des tarifs préférentiels.

        Exonération succession résidence principale Israel
        Banques israélienne gage de sécurité pour investisseurs
        • Secteur bancaire pérenne

        Avec des ratios de solvabilité en fonds propres très importants, les banques israéliennes font gage d’une sécurité solide pour les investisseurs.

        • Culture entrepreneuriale

        Israël abrite un écosystème qui lie théorie et pratique. L’université du Technion est l’un des premiers incubateurs au monde.

        Un marché interne restreint qui oblige les Start Up à penser international.

        • Héritage et succession

        Selon la loi israélienne, il n’y a pas de taxe de succession, et, par conséquent, la succession du testateur dont la résidence principale était en Israël sera exonérée d’impôt. Cette loi n’est pas valable pour les biens immobiliers possédés en France.

        Cependant, il est souvent difficile d’évaluer quelle est la résidence principale d’une personne vivante entre les deux pays. Plusieurs paramètres seront pris en compte tel que le temps de séjour en Israël, l’existence de biens en Israël, le lieu d’habitation réel, le pays dans lequel sa famille réside et ses enfants étudient, le type d’habitation, le lieu de son occupation professionnel, et le but de son séjour en dehors d’Israël.

        Pour plus de détails sur l’investissement en Israël, un article y est spécialement dédié : « Investir en Israël ».

        Quels que soient les risques et les contraintes administratives, les investissements qui assurent un haut rendement sont nombreux et le maitre mot reste la diversification de la sélection. La complexité des montages fait que le recours à un professionnel est indispensable avant de se lancer dans quelconque démarche. Herez Israël est spécialisée dans l’identification des opportunités d’investissement et élabore des stratégies sur mesure pour ses clients en fonction de leur situation et de leurs objectifs.

        S’installer en Israël

        Partir à l’étranger ne s’improvise pas. Israël ne déroge pas à la règle. Derrière le fantasme d’une installation supposée simple, la réalité peut être un peu différente. Mal préparée son Alya peut avoir d’importantes conséquences sur la vie familiale et professionnelle et ainsi devenir un véritable parcours du combattant notamment sur la gestion de son patrimoine.

        Le manque de préparation est l’un des principaux écueils. L’équation patrimoniale et ses enjeux restent souvent un sujet secondaire en comparaison avec la reconstruction du cadre de vie et l’éducation des enfants.

        Pour partir l’esprit tranquille, mieux vaut donc se poser les bonnes questions avant le départ : Quelles sont les règles du jeu fiscal en France et en Israël, les précautions à prendre, les dangers à éviter, les investissements à organiser ?

        Avec la délocalisation des personnes, les patrimoines s’internationalisent. Il n’est pas surprenant de rencontrer des familles installées en Israël et dont l’essentiel du patrimoine financier est au Luxembourg et une grande partie du patrimoine immobilier se trouve en France et en Israël.

        L’expérience montre que pour se donner toutes les chances de réussir son Alya mieux vaut bien penser l’organisation du patrimoine avant son départ. Prendre le temps de déterminer précisément ses objectifs et ses priorités est donc une étape préalable nécessaire et importante. A chacun les siens : protection du conjoint en cas d’imprévu, construction d’une épargne long terme, perception de revenus complémentaires ou encore préparation de la retraite ou transmission de son vivant.

        Bien identifiés, ils appellent des solutions sur mesure qui doivent être suffisamment flexibles pour s’adapter aux changements dans l’environnement économique, familial, et personnel. A l’inverse les solutions bricolées au dernier moment sont souvent lourdes de conséquences. On le voit trop souvent au plan fiscal, faute d’avoir adopté la bonne organisation.

        Conseil et accompagnement pour s'installer en Israël
        S'installer en israël

        Mais le constat vaut également sur le plan des investissements financiers.
        En effet les conditions actuelles qui se caractérisent notamment par une absence de rémunération des placements monétaires obligent également à ce travail préalable de réflexion.  La question du conseil et de l’accompagnement pendant la durée de vie de son épargne est également l’un des paramètres à prendre en considération pour garantir une installation pérenne en Israël. La bonne définition des objectifs en termes de rendement et de risque est donc essentielle.

        Une approche patrimoniale veillera donc à réduire le risque et privilégier une diversification accrue entre les classes d’actifs, les zones géographiques et les styles de gestion.

        Les possibilités en termes de gestion sont très étendues et l’impartialité du conseil un gage d’assurance dans la qualité et la pertinence de la recommandation et de l’accompagnement.

        La gestion en « architecture ouverture et multi-gestion » est un des moyens de s’en assurer.

        Dans le cadre de leur alyah et pour répondre aux complexités réglementaires qui parfois brouillent l’identification des solutions appropriées, les nouveaux immigrants auront comme premier réflexe naturel de s’adresser à des francophones installés localement.

        Herez est par définition au cœur de la gestion de l’ensemble des enjeux patrimoniaux et fédère un réseau d’experts francophones et indépendants capables de fournir un conseil couvrant tous les aspects de l’expatriation en Israël.

        Sur le plan de l’investissement et grâce à son indépendance capitalistique et à sa flexibilité, la société a une grande capacité à sélectionner les meilleurs placements du marché.