Club Jeunes – Accompagner les jeunes actifs en Israël

Il y a un an, nous avons lancé le Club Jeunes. Le but de ce club est d’accompagner les jeunes francophones installé(e)s en Israël dans la gestion de leur épargne.

Faut-il amasser un patrimoine avant d’investir ?

Nous entendons souvent cette idée reçue : il faudrait attendre un certain temps avant d’investir un montant amassé.

Il y a un an, nous avons lancé le « Club jeunes ». Un programme d’investissement destiné aux jeunes actives et actifs francophones installé(e)s en Israël.

Nous sommes partis d’un constat simple :

  • Beaucoup de jeunes talents en Israël n’ont pas forcément d’éducation financière. Pourtant, savoir gérer son budget, pouvoir financer un bien immobilier, faire face aux imprévus… est indispensable.
  • Les jeunes pensent ne pas avoir de force de frappe d’investissement. Pourtant, ils ont un avantage de taille : le temps. Plus on épargne tôt de manière régulière, plus le capital grossit et plus les intérêts s’accumulent. Il est donc possible de commencer à investir alors même que vous ne disposez pas d’un gros patrimoine. Comme disait Warren Buffett, il faut débuter « avec le bon état d’esprit, les bons mots et le bon plan ».
  • Enfin, les jeunes francophones ont un fort besoin d’accompagnement en Israël. Ils ne maîtrisent pas forcément les codes, à moins d’avoir un entourage averti.

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Nous avons rencontré depuis près d’une centaine d’entre eux, chacun avec un parcours et des projets différents. Tous ont un profil prometteur. Les jeunes d’aujourd’hui sont en effet les décideurs de demain.

Nous voulions ainsi les accompagner à l’aube de leur carrière professionnelle et leur donner des conseils éclairés sur la manière de gérer leur épargne. Il existe en Israël des solutions pertinentes pour permettre à ces jeunes de poser la première pierre de leur patrimoine. Nous relevons le défi de les accompagner sur le long terme.

« Devenir riche débute avec le bon état d’esprit, les bons mots et le bon plan. »​ Warren Buffett

Soirée de lancement – 40 jeunes investisseurs

Investir jeunes Israël

Nous avons eu le plaisir d’accueillir une quarantaine de jeunes le 1er avril dernier dans les bureaux d’une fintech israélienne partenaire, pour la première soirée de réunion du Club Jeunes, lancé par notre cabinet l’année dernière.

Nous avons parlé économie israélienne, opportunités d’investissement et partagé un moment de networking.

Nous sommes fiers de notre engagement à écouter les besoins de la jeunesse francophone et à y répondre. Si vous souhaitez commencer à investir, n’attendez pas.

Conclusion

Nous remercions nos partenaires pour leurs précieux soutiens.

Nous restons à votre disposition pour toute question ou rendez-vous.

Contactez-nous par mail via herez.israel@herez.com ou en remplissant le formulaire ci-dessous.

 

Achevé de rédiger le 07 avril 2024.

Ê T R E – R A P P E L É ?

 

    Horaire d'appel

    Comment limiter l’impact de la baisse des taux sur mon épargne ?

    Après avoir réduit le taux d’intérêt de 0,25% en début d’année, la banque d’Israël a décidé d’arrêter le processus pour le moment.

    Le gouverneur a cependant souligné que cela reprendra tant que l’inflation continuerait de baisser. Avec la fluctuation de ces derniers, les investisseurs recherchent des perspectives stables. Notre avis sur les opportunités qui s’offrent à eux.

     

    Dépôt bancaire (Pikadon)

    banque Israël

     

    Produit bancaire équivalent au compte à terme.

    Rendement moyen : 4% / an.

    Avantages :

    • Sécurité : Intérêts garantis
    • Flexibilité : Possibilité d’ouvrir un dépôt dans une banque différente de celle où se trouve le compte principal

    Inconvénients :

    • Faible liquidité : L’argent est bloqué pendant toute la durée choisie
    • Impôt sur les bénéfices : Taxe de 15% sur les intérêts perçus lors du retrait

    Avis Herez : sous-pondérer

     

    Obligations (Agah’)

    Prêt à l’État ou aux entreprises. Durée prédéterminée.

    Rendement moyen :

    • Obligations gouvernementales : 4.2%/ an
    • Obligations Corporate Israël cotées : 5%/ an

    Avantages :

    • Taux d’intérêt fixes pendant leur durée de vie
    • Investissement à faible risque dans le cas des obligations gouvernementales, ainsi que des obligations d’entreprises bien notées

    Inconvénient : Perte de capital possible avec la hausse des taux d’intérêt

    Avis Herez : sous-pondérer

     

    FONDS MONÉTAIRES (KEREN KASPIT)

    Fonds d’investissement à faible risque sur des dépôts bancaires et obligations corporate et gouvernementales à courte durée.

    Rendement moyen : 4.7%/ an

    Avantages :

    • Liquidité élevée et possibilité de libérer rapidement les fonds investis
    • Fiscalité avantageuse : taux d’imposition de 25% sur le rendement inférieur à l’inflation

    Inconvénient : Rendements variables selon la fluctuation des taux d’intérêt

    Avis Herez : sous-pondérer

     

    Crowdlending

    Financement participatif pour des personnes physiques et morales.

    Rendement moyen : >7.5%/an

    Avantages :

    • Création d’une nouvelle source de revenu fréquent
    • Portefeuille diversifié avec plusieurs milliers de prêts
    • Liquidité

    Inconvénient : Risque lié à la dette privée

    Avis Herez : surpondérer

    projet immobilier

    Club deal immobilier

     L’investisseur participe au financement d’un projet immobilier aux cotés du promoteur.

    Rendement moyen : >8%/an

    Avantages :

    • Coupons réguliers
    • Court délai de réalisation
    • Création de valeur par construction et développement de zone rurale

    Inconvénients :

    • Risque lié à à l’activité de construction immobilière
    • Risque de retard et décalage dans la livraison avec incidence sur le TRI

    Avis Herez : surpondérer

    Nous restons à votre disposition pour toute question ou rendez-vous.

    Contactez-nous par mail via herez.israel@herez.com ou en remplissant le formulaire ci-dessous.

     

    Achevé de rédiger le 07 mars 2024.

    Ê T R E – R A P P E L É ?

     

      Horaire d'appel

      Les aides de l’Etat pour booster la high-tech en Israël

      La dépendance de l’économie israélienne au secteur high-tech s’est considérablement accrue ces dix dernières années. Aujourd’hui, la part de l’industrie israélienne des hautes technologies dans le PIB local est de 18%. Voici les aides de l’Etat pour booster la Tech en Israël.

       

      Maintenir Israël à sa place de puissance high-tech

      Dans le cadre de l’approbation du budget 2024, le gouvernement en collaboration avec le ministère des finances et l’Autorité de l’innovation d’Israël, vient de dévoiler un plan de relance important pour maintenir Israël à sa place de puissance high-tech.

      Ce plan complète les initiatives de grands fonds israéliens tels que Iron Nation ou Techshield qui ont mis en place des solutions fortes pour soutenir le domaine de la technologie israélienne, ralenti depuis 2022 et fragilisé avec la guerre.

       

      1- Start-up Fund

      Soutien gouvernemental : jusqu’à 60 % du financement total

      Objet : encourager des start-ups dans des phases de développement essentielles.

      Montant : 100 M de dollars/an

      Durée : 3 ans

      Investissement : Pre-Seed, Seed et Series A

       

      2- Fonds Yozma

      Soutien gouvernemental : 30 % pour chaque dollar investi

      Objet : co-investissement avec des investisseurs institutionnels israéliens pour augmenter la part du capital local, réduisant la dépendance au capital étranger et renforçant la stabilité du marché du capital-risque en Israël.

      Montant : 1 Md de dollars

      Durée : 5 ans

      Investissement : early-stage

       

      3- Nouveau Fonds d’incubateurs de création de Ventures

      Soutien : l’Autorité de l’Innovation soutient trois clubs d’investissement privés pour coordonner les investissements et offrir un soutien en gestion d’entreprise.

      Objet : attirer des investisseurs privés d’Israël et du monde entier pour investir dans des start-ups israéliennes à fort potentiel

      Montant : 9 M de dollars

      Durée : 3 ans

      Investissement : Pre-Seed et Seed

       

      Guerre du Liban et Bordure Protectrice

      guerre Israël

      Les données de la guerre du Liban en 2006 et de l’opération Bordure protectrice en 2014 illustrent la capacité de l’écosystème technologique israélien non seulement à perdurer, mais aussi à prospérer après les périodes de conflit :

      • Croissance constante du PIB (et dépassant la moyenne de l’OCDE)
      • Levées de fonds réussies
      • Emergence d’entreprises influentes

      Notre avis

      • Les initiatives privées et gouvernementales représentent un avantage significatif pour la pérennité de la Tech.
      • L’avantage fiscal accordé par le plan de relance, à savoir une exonération d’impôts sur les gains en capital en cas de réinvestissement dans les 12 mois dans une autre entreprise israélienne, encourage d’autant plus les investisseurs à participer à cette relance.
      • Nous constatons dans lallocation de nos clients une exposition toujours plus forte au private equity (secteur de la Tech), année après année. Nous pensons que ce mouvement va se poursuivre dans le futur.
      • Tous ces éléments nous confortent dans notre certitude concernant la résilience de la Tech israélienne et plus largement de l’économie israélienne.

       

       

      Nous restons à votre disposition pour toute question ou rendez-vous.

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      Achevé de rédiger le 07 février 2024.

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        Horaire d'appel

        Communiqué : Fusion Maison Herez & Groupe Cyrus

        Communiqué – Paris, le 7 décembre 2023

        Groupe CYRUS et Maison HEREZ entrent en négociations exclusives en vue de créer l’acteur indépendant de référence de la gestion privée et de la gestion de fortune en France.

         

        Laurent Perez, directeur général de la filiale Herez Israël, déclare : « C’est avec une immense fierté que je partage aujourd’hui une excellente nouvelle qui marque une étape majeure dans le secteur de la gestion de patrimoine en France. À savoir la fusion prochaine entre Groupe CYRUS et Maison Herez, créant ainsi un acteur indépendant de tout premier ordre dans le domaine de la gestion privée et de la gestion de fortune en France. Cette alliance stratégique représente bien plus qu’une simple fusion d’entreprises – elle incarne une convergence de valeurs, d’expertises et d’engagements envers l’excellence dans le service à nos clients. Ensemble, nous combinons nos forces pour offrir des solutions innovantes et sur mesure à nos clients. Ces derniers sont les grands victorieux de ce nouveau chapitre passionnant qui commence ! »

         

        Nous vous transmettons les mots du président de la Maison Herez, Patrick Ganansia.

         

        Madame, Monsieur, 

        Depuis de nombreuses années, vous nous accordez votre confiance pour la gestion de votre patrimoine. Votre fidélité nous a permis de grandir et de proposer à d’autres professionnels, chaque année, de nous rejoindre. 

        Aujourd’hui, j’ai le plaisir de vous annoncer notre rapprochement avec un autre acteur majeur de la gestion de Patrimoine : Cyrus Conseil. Meyer Azogui, son dirigeant et moi-même, partageons le même métier, les mêmes valeurs humaines et nous nous apprécions depuis 25 ans.  

        Cette union basée sur une culture forte et des valeurs communes est avant tout une aventure humaine fondée sur la confiance et la complémentarité. Le sens client, l’expertise et la performance sont les valeurs fondamentales communes à nos deux maisons qui ont été le socle de notre rapprochement. Ensemble, nous serons encore plus novateurs pour répondre à vos attentes et exigences sur nos cinq métiers : le conseil et  l’ingénierie patrimoniale, la gestion financière, les produits structurés, le non coté et l’immobilier. Cette nouvelle aventure, dont vous faites partie, est possible grâce à la confiance que vous nous témoignez et l’ensemble des équipes de Maison Herez se joint à moi pour vous en remercier très sincèrement.

         

         

         

        Herez Israël, filiale d’Herez, groupe français de premier plan spécialisé dans le conseil en gestion de patrimoine, a été créée pour renforcer la proximité avec nos clients désormais installés en Israël, et plus largement, proposer une offre de services sur mesure aux francophones intéressés par l’investissement en Israël.

        Nos 5 conseils face aux prévisions des analystes en Israël

        Face aux prévisions des analystes, voici la vision de Herez Israël dans ce contexte. Nous vous conseillons des solutions maison à adopter, en Israël.
        Cela ne remplace pas un rendez-vous, impératif pour un accompagnement sur-mesure, mais cela donne une idée de l’étendue des opportunités en Israël.

         

         

        1- L’immobilier

        investir Israël

         

        Prévision : renouvellement de la demande, fort intérêt par les locaux mais aussi les étrangers (recrudescence de l’Alya). Rebattement des cartes entre le Nord/Centre/Sud d’Israël.

         

        Notre conseil : se positionner sur des pépites comme Beer Sheva (ville à fort potentiel) ou des projets en amont/en cours de livraison pour profiter de prix très attractifs.

        2- Taux d’intérêt

         

        Prévision : baisse des taux d’intérêt au premier semestre 2024, le taux d’inflation à peine au-dessus de la fourchette cible annuelle de 1 à 3%.

        Notre conseil : privilégier des classes d’actif non indexées pour ne pas subir l’impact de la baisse des taux. Par exemple, de la dette privée à taux fixe, autour de 8% par an.

         

        3- Marchés financiers

        investir en Israël

        Prévision : les marchés anticipent une baisse des taux. Mécaniquement, le marché actions israélien va retrouver de sa superbe. Ajoutons à cela la valorisation attractive du marché

         israélien.

         

        Notre conseil : diversifier son portefeuille. Profiter des points d’entrée bas, s’exposer aux actions israéliennes (exemple : secteur bancaire, certaines mid cap sur la cybersécurité). Privilégier les obligations datées, sous pondérer son exposition aux fonds monétaires.

        4- Startups

        Prévision : il est encore trop tôt pour se prononcer malgré la poursuite des levées de fonds mais Israël reste par son essence la start up nation.

        Notre conseil : s’intéresser à des fonds solides diversifiés multi secteurs plutôt que d’investir sur une seule entreprise. Les coups durs portés aux valorisations révèlent de plus des points d’entrée intéressants.

         

         

        5- Alya

        Alya Israël

        Prévision : vague d’immigration attendue à l’été 2024. Cinq fois plus de dossiers d’Alya ouverts en France en octobre 2023 par rapport à octobre 2022 d’après l’Agence Juive. 50 à 70% des dossiers vont au bout du processus.

         

        Notre conseil : une fin de guerre est toujours synonyme de reconstruction. Comment se préparer dès à présent à ce nouveau cycle ? En réalisant un audit patrimonial pour organiser une Alya en protégeant sa famille.

        Conclusion

        Nous restons à votre disposition pour toute question ou rendez-vous.

        Contactez-nous par mail via herez.israel@herez.com ou en remplissant le formulaire ci-dessous.

         

        Achevé de rédiger le 03 décembre 2023.

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          Horaire d'appel

          Israël Jarmon : une façon accessible de parvenir à la propriété près de Jérusalem

          Un projet immobilier à Mitspe Yehouda, nouvelle ville à quelques kilomètres du centre de Jérusalem, est en train de voir le jour. Nous avons interviewé Israël Jarmon, , le directeur commercial pour le public francophone sur les avancées de ce projet.

          Herez Israël. Pouvez-vous dresser un état des lieux du projet ?

          En février dernier, le gouvernement a approuvé la régularisation de neuf implantations dans le Shomron, dont Mitspe Yehouda, et a demandé l’avancée des autorisations de construction. L’obtention d’un TABA (le document qui précisera définitivement les droits de construction et permettra l’émission des permis de construire) est estimée à deux ans. Les plans sont en préparation chez l’architecte. Il y a eu de plus plusieurs rendez-vous avec la commission régionale du Goush Etsion. Le projet avance bien.

           

          Pensez-vous que la guerre va accélérer ou au contraire freiner ce processus ?

          La politique est un élément majeur du projet. Deux forces pourraient s’y opposer : d’une part la gauche israélienne et d’autre part une politique américaine restrictive. Aujourd’hui, la gauche recule énormément pour des raisons évidentes.

          Concernant les Etats-Unis, qui sont actuellement de notre côté, ils n’oseront pas interdire à moyen terme des projets de construction pour loger des populations juives. Les républicains comprennent bien que la « judaïsation » du territoire est obligatoire.

          De plus, la carte d’Israël va sûrement être modifiée. À la suite de ce traumatisme national, les habitants ne voudront pas forcément vivre aux alentours de Gaza. Israël n’a pas d’autre choix que de purifier cette zone du « cancer » Hamas. Mais cela ne va pas durer trop longtemps compte tenu du lourd tribut de la guerre. Le retour à la vie normale impliquera de reloger des Israéliens voire de loger de nouvelles personnes. Les juifs du monde entier vivent aussi un traumatisme face à la haine. Ils observent qu’Israël est capable de reprendre le contrôle de la situation et protéger ses habitants, ce qui n’est pas le cas de la plupart des pays occidentaux.

           

          Israël est capable de reprendre le contrôle de la situation et protéger ses habitants, ce qui n’est pas le cas de la plupart des pays occidentaux.

          Pouvez-vous nous donner la valorisation récente donnée par les experts des parcelles à la vente ?

          Mitspe Yehouda

           

          La rareté de l’immobilier en Israël fait que les prix sont exorbitants. Notre projet est une façon accessible de parvenir à la propriété, non loin de la ville sainte. La dernière expertise officielle fixe un prix de la parcelle en l’état actuel à 520.000 nis et une fois le TABA obtenu à 750.000 nis. Nous avons la possibilité aujourd’hui de proposer un nombre limité de parcelles au prix de 240.000 nis inférieur au prix du promoteur qui vend à ce jour à 260.000 nis actuellement, cela grâce à notre prise de position très en amont sur ce projet.

          La rareté de l’immobilier en Israël fait que les prix sont exorbitants.

          Quelles sont les leçons à tirer de cette guerre ?

          D’un point de vue politique, la meilleure des guerres est la construction car c’est la seule façon de créer des villes juives et protéger la population. Ce qui s’est passé le 7 octobre est la conséquence d’une désoccupation d’un terrain. Concernant le sud-est de Jérusalem, le terrain est vide. Mitspe Yehouda est censé devenir une ville de plus de 200.000 habitants entre notre terrain privé et le terrain gouvernemental. Cela représente 4.000 dunam, 40.000 appartements, une autoroute à 4 voies qui va de Jérusalem à Mitspe Yehouda et qui continue jusqu’à Arad.

          D’un point de vue politique, la meilleure des guerres est la construction

          Votre conseil pour les francophones ?

          Il faut réaliser qu’il s’agit d’une réelle opportunité. Une nouvelle ville en Israël, qui plus est près de Jérusalem pour une somme modique… La parcelle donne le droit de construire un appartement de 100 m² pour environ un million de shekel, ce qui est rare en Israël. La valorisation attendue promet d’être très intéressante. D’autant plus s’il l’on prend en compte la démographie importante d’Israël couplée à une potentielle forte Alya depuis les évènements.

          La genèse du projet

          Le gouvernement avait autorisé la construction de ce projet dès 1984, mais faute de construction, cette autorisation est devenue caduque. L’acquisition des terres de Mitspe Yehouda a pris fin en 2014 : une partie appartient à l’Etat et l’autre est une terre privée. Le terrain d’appartenance privée concerne le projet référencé. L’équipe en place est très dynamique et participe activement à l’accélération des autorisations sur le terrain. Pour plus d’informations retrouvez notre précédente interview ici.

          Interview réalisée le 20 novembre 2023

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