Business Awards : Herez Israël, meilleur cabinet de conseil en gestion de patrimoine

La Chambre de commerce Israël-France a inauguré début avril ses Business Awards récompensant les experts français présents en Israël. Parmi eux, Herez Israël comme cabinet de conseil en gestion de patrimoine.

Fédérer les experts français sur le marché israélien

Les Français représentent un poids important au sein du marché israélien. Pourtant, un manque de cohésion existe entre les professionnels du business, contrairement au milieu anglophone. Face à ce constat, il devenait nécessaire d’une part de créer un réseau d’experts et ainsi encourager un service de qualité et d’autre part favoriser une meilleure intégration économique des nouveaux immigrants français.

La Chambre de commerce et d’industrie Israël-France a ainsi lancé le 7 avril 2022 une première cérémonie des Business Awards. Cette dernière a permis de référencer les professionnels locaux et de distinguer les spécialistes parmi les cabinets d’avocats, d’experts-comptables, de conseil en gestion de patrimoine, les banques ainsi que les agences de communication francophones présents en Israël.

Herez Israël remporte l’award du meilleur cabinet de conseil en gestion de patrimoine

Au cours de cette soirée qui s’est tenue à Tel-Aviv, Son Excellence l’Ambassadeur de France Éric DANON a remis à Herez Israël l’Award du meilleur cabinet de conseil en gestion de patrimoine.

Les lauréats de cette cérémonie ont été par la suite invités par Qualita pour échanger à ce sujet :

« Nous sommes ravis qu’il y ait, pour la première fois en Israël, une cohésion parmi les experts du monde francophone. Plus vite nous comprenons que nous devons garder notre essence en tant que français tout en s’adaptant au marché local, plus vite nous arrivons à des résultats » – Laurent Perez, directeur général de Herez Israël

conseil en gestion de patrimoine

Les mots de l’équipe Herez

Nous sommes honorés par cette récompense et souhaitons remercier nos clients, nos partenaires et le groupe Herez. Ce prix est la consécration d’un travail et d’une détermination sans faille depuis la création de Herez Israël.

Avec l’implication au quotidien de notre équipe, nous avons pu donner vie à Herez en Israël, fidéliser une clientèle exigeante et proposer une offre singulière, compréhensible et adaptée aux attentes des français ayant un lien fort avec Israël.

Nous continuerons de plus belle !

Retrouvez notre interview publiée sur Israël Valley ici.

Qui sommes-nous ?

Herez est un cabinet de conseil en gestion de patrimoine français fondé en 1995 et qui gère aujourd’hui plus de 3 milliards d’euros. Il y a quelques années, le cabinet a implanté une filiale en Israël pour accompagner les francophones intéressés par l’investissement en Israël. Herez Israël s’est constitué un fort réseau local de partenaires qualifiés et fidélise désormais plus de 100 familles en Israël, grâce à des solutions en shekel compréhensibles et adaptées permettant de pérenniser leur épargne.

 

Achevé de rédiger le 26 avril 2022.

Ê T R E – R A P P E L É ?

 

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    Comprendre l’écosystème des startups israéliennes

    Dans le domaine des nouvelles technologies, la Silicon Valley aux États-Unis est souvent citée en exemple. Cependant, cela fait plusieurs années qu’un petit pays fait également parler de lui en matière d’innovation technologique : Israël, qu’on surnomme même « Israel Valley ». Herez Israël souhaite décrypter pour vous cet écosystème, entre startups, licornes et levées de fonds.

    La Start-up Nation

    C’est en 2009 qu’est paru pour la première fois le livre qui donnera le nouveau surnom de l’État Hébreu, « Israël, la nation start-up ». Écrit par Dan Senor et Saul Singer, ce livre vante les mérites de cet écosystème. Aujourd’hui, Israël est reconnue partout dans le monde pour sa matière grise et sa capacité de prise de risques.

    Le titre de start-up nation est désormais ancré dans la société israélienne. Cependant, il commence à vieillir. Un grand nombre de startups a en effet déjà franchi le cap d’une valorisation estimée à plus d’un milliard de dollars, qu’on appelle licornes. Il est ainsi plus adapté de parler davantage de scale-up nation et d’unicorn nation.  Aujourd’hui, il existe plus de 9000 start-ups israéliennes (selon IVC, fév. 21). Parmi elles, on retrouve 57 licornes, dont 33 datent de 2021 d’après SNC.

    « Les personnes travaillant dans la High Tech sont très conscients qu’Israël – par rapport à sa petite taille – connaît d’étonnantes prouesses technologiques. Il y a une importante concentration de main-d’œuvre en haute technologie talentueuse ici, par rapport à d’autres pays – presque à la mesure de la Silicon Valley » – Bill Gates, fondateur de Microsoft

    Les pépites parmi les startups israéliennes

    investissement start-up IsraëlLe développement éclair de toutes ces jeunes compagnies incitent beaucoup de personnes à investir en elles en espérant trouver une « pépite » telle qu’Etoro, Waze ou encore Wix. L’innovation israélienne se retrouve dans tous les domaines. Médecine, agriculture, automobile, finance, éducation, défense… Bien d’autres sont impactés positivement par le dynamisme de cette innovation.

    Dans sa revue annuelle, IVC, la principale source de données et d’informations économiques dans l’industrie de haute technologie israélienne, a sélectionné les meilleurs investissements de 2021. La quasi-totalité des domaines concernent l’IT et les logiciels d’entreprise.

    Faut-il se concentrer dans ce domaine lorsqu’on souhaite miser sur les pépites de demain ?

    La course à l’investissement dans les « Big 3 »

    investissement startup

    startups israéliennes

    Les levées de fonds des start-ups israéliennes ont atteint un montant record de 25.6 milliards de dollars en 2021seulement, contre 10.8 milliards l’année précédente, d’après SNC.

    De plus, trois secteurs de la Tech ont dominé les investissements. Tout d’abord la FinTech, ensuite les technologies de sécurité (principalement cybersécurité) et enfin l’infrastructure informatique et de données d’entreprise. À eux trois, ils ont représenté, en 2021, 65% du total des fonds levés, contre 52% en 2020 (SNC). Afin de diluer le risque, il est important de diversifier ses investissements notamment de manière sectorielle.

    Le service militaire

    Plusieurs facteurs peuvent expliquer la réussite israélienne en matière d’entrepreneuriat, le premier étant bien évidemment l’armée.

    Le service militaire étant obligatoire, les jeunes à la sortie du lycée doivent consacrer deux à trois ans à la sécurité du pays. Dans la société israélienne, c’est une étape cruciale de la jeunesse. Pendant ces années, ils sont confrontés à de nombreux défis et doivent constamment se dépasser afin d’accomplir leurs missions. Le travail d’équipe est la clef de cette réussite. Ce sont ces qualités qui leurs seront nécessaires en tant que futurs entrepreneurs.

    Il faut également noter que plus récemment, les unités technologiques de renseignements tels que 8200 ou 81, ont permis à de très nombreux jeunes d’accéder à des formations de haute qualité qui leur permettent de se lancer directement dans la High Tech au sortir de l’armée.

    La culture de l’entrepreneuriat

    Secondement, la culture du pays repose elle-même sur l’entrepreneuriat. Theodor Herzl est en ce sens l’un des plus grands entrepreneurs, avec un projet de taille : celui de l’établissement d’un foyer juif. Les pionniers ont dû travailler dur afin de rendre cette terre fertile et de transformer ce désert en une puissance économique mondiale. Israël en tant que nation a su relever de nombreux défis, d’un point de vue militaire, économique, social et même démographique. Tout cela a été rendu possible grâce à ses citoyens qui ont toujours cherché à trouver des solutions là ou d’autres n’en voyaient pas.

    « Si vous le voulez, ce ne sera pas un rêve » – Theodore Herzl

    Le soutien de l’État

    Enfin, l’État fait tout son possible afin de soutenir l’innovation israélienne et prend plusieurs mesures qui permettent aux entrepreneurs de se développer plus facilement. Il consacre 4,94% de son PIB au R&D civil contre 3,1% pour les États-Unis. C’est « le pourcentage le plus élevé au monde » d’après le Ministère de l’économie, des finances et de la relance. Israël fait ainsi concurrence aux États-Unis.

    Tous ces facteurs expliquent en grande partie le succès israélien et le dynamisme de son écosystème.

    Les stades de développement des startups

    Cependant ce qui détermine la réussite d’une idée innovante, c’est son exécution. Afin de pouvoir se développer, une start-up va avoir appel à différents stades de levée de fonds. Plus le stade est avancé, moins le risque est important mais les bénéfices moindres.

    On compte 4 principaux stades de levée de fonds :

    Pre-seed :

    C’est le moment le plus risqué pour investir. On ne vous présente qu’un projet et des suppositions concernant le marché. Si les promesses se réalisent, le potentiel de retour sur investissement est le plus élevé. On estime un besoin de financement entre 50 et 500 mille euros avec une valorisation inférieure à 2,5 millions.

    Seed :Seed

    La compagnie possède déjà son produit/service et ses premiers clients, elle a cependant besoin de se développer pour pouvoir se structurer. Le risque est toujours fort mais déjà moindre. On estime un besoin de financement entre 0,5 et 1,5 million d’euros avec une valorisation inférieure à 5 millions.

    Pre-Serie A :

    La compagnie commence à faire ses preuves et le chiffre d’affaires est de plus en plus constant. Mais elle nécessite davantage de fonds afin de terminer sa structuration et de se déployer à plus grande échelle. On estime un besoin de financement entre 1 et 3 millions d’euros avec une valorisation inférieure à 9 millions.

    Série A :

    Il s’agit du dernier stade en investissement participatif. L’objectif est de stabiliser la compagnie. Les enjeux sont plus importants car ce stade apparaît souvent avant une introduction en bourse ou un rachat par une autre compagnie. On estime un besoin de financement entre 2 et 10 millions d’euros avec une valorisation inférieure à 20 millions.

    Les différents investisseurs

    Il existe plusieurs sources de financement d’une startup.

    Le premier cercle d’investisseurs

    La première est bien évidemment l’autofinancement. C’est l’argent de l’entrepreneur lui-même et de son ou ses associés. Ils peuvent aussi compter parfois sur la love money, c’est-à-dire des fonds apportés par leurs proches qui croient en leur projet. Ils peuvent toujours se tourner vers les banques si cela n’est pas suffisant.

    Cependant, plus on se rapproche de stades avancés, plus les montants nécessaires deviennent importants. Les startups doivent alors recourir à d’autres sources de financement.

    Le financement participatif

    Il existe tout d’abord le crowdfunding (financement participatif). Via des plateformes en ligne, comme OurCrowd en Israël, les entrepreneurs présentent leurs projets et leurs ambitions afin de récolter des fonds de particuliers séduits. C’est un excellent outil de communication.

    Les investisseurs professionnels

    Ces mêmes entrepreneurs peuvent également se tourner vers des business angels. Il s’agit d’investisseurs ayant de l’expérience et qui, en plus de participer au financement du projet, accompagnent les entrepreneurs pour qu’ils réussissent.

    Enfin, les fonds d’investissement ont pour mission de repérer des projets qui leur semblent solides et à fort potentiel. Ils sont d’une aide précieuse car ils peuvent soutenir financièrement et de manière importante les entrepreneurs mais également leur apporter une expertise et des mises en relation. Il existe de nombreux fonds d’investissement en Israël dont beaucoup ont déjà fait leurs preuves.

    Les pièges à éviter pour investir

    La société israélienne possède un excellent écosystème pour le développement de startups. Il peut être intéressant d’allouer jusqu’à 10 % maximum de son patrimoine liquide s’agissant de private equity.

    Attention cependant à limiter les risques. Veillez à privilégier des fonds d’investissement de qualité plutôt qu’investir en direct, à choisir des stades avancés en termes de levées de fond ainsi que diversifier les secteurs d’activité. Il faut de plus être prêt à placer des liquidités sur le long terme. Enfin, il est important d’être conseillé par un professionnel qui connaît le marché et en maîtrise les enjeux.

    Si vous souhaitez être accompagné dans ce nouveau projet, contactez-nous en remplissant le formulaire ci-dessous.

    Achevé de rédiger le 15 mars 2022.

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      Investissement immobilier en Israël : conquérir le désert

      Dans un souci constant de décrypter les meilleures opportunités en Israël aux côtés d’experts qualifiés, Herez Israël signe un partenariat exclusif avec la société de conseil en investissement immobilier et hôtelier Negev Inside. Sa fondatrice, Sandy Madar, nous fait part, dans cette interview, de cette aventure de l’entrepreneuriat dans le sud du pays, où elle guide les francophones vers l’immobilier de demain.

      Herez Israël. En 2019, vous créez Negev Inside. Pourquoi avoir choisi la région du Neguev ?

      investir NeguevSandy Madar : La démographie israélienne ne cesse de croître et doublerait d’ici 2048. Il est donc urgent de développer un nouveau pôle face à seize millions d’habitants prévus. Au-delà de cette nécessité, j’avais envie en tant que franco-israélienne que la clientèle francophone participe à ce développement. Grâce à une expérience de près de dix ans en immobilier, Negev Inside intervient dans l’analyse du marché et de ses opportunités, en s’appuyant sur une double culture et un fort réseau local. À ce jour, les deals conclus avec des clients représentent un volume de plus de 100 millions de shekels.

      Quel intérêt mesurez-vous chez cette clientèle ?

      S.M. : Du fait d’un renforcement conséquent du shekel et de la hausse des prix de l’immobilier à Tel-Aviv et ses alentours, les Français s’intéressent de plus en plus aux endroits excentrés. Je souhaite les aider à choisir des villes stratégiques. Une ville a un fort potentiel de croître si trois secteurs se développent, à savoir : les infrastructures, l’emploi et l’éducation. Comme Beer Sheva.

      Quel est l’état du marché face à ce bouleversement déjà bien engagé ? 

      S.M : En effet, la transformation du Neguev est déjà en marche. De nombreuses opportunités voient continuellement le jour. Avec Herez Israël, nous souhaitons consolider notre positionnement notamment à Beer Sheva, qui est au premier plan de cette transformation. Cela porte déjà ses fruits.

      “Une ville a un fort potentiel de croître si trois secteurs se développent, à savoir : les infrastructures, l’emploi et l’éducation, comme Beer Sheva.”

      Qu’est-ce que représente le Neguev en Israël ?

      Investir à Beer ShevaS.M. : Cette région représente quasiment les deux tiers du pays, avec une population de moins d’un million d’habitants concentrée principalement dans la partie Nord-Ouest. Il existe une dizaine de villes telles que Dimona, Ofakim ou encore Arad (plus de 20 000 habitants), une centaine de yechouvim (petits villages de moins de 2 000 habitants) et bien évidemment Beer Sheva, la métropole du Neguev, qui compte plus de 220 000 habitants. Beer Sheva est une des huit grandes villes d’Israël et la deuxième plus grande ville en termes de superficie, après Jérusalem. La population bédouine représente 2,5% de la population répartie entre une quinzaine de localités reconnues et des villages non reconnus par le gouvernement israélien.

      Quels sont les enjeux de développement dans la région ?

      S.M. : Il en existe plusieurs du fait de sa superficie, des conditions désertiques et des zones dédiées à l’armée israélienne. Parmi eux, il y a la question de régulariser certains villages bédouins, délaissée depuis plus de vingt ans et dorénavant à l’ordre du jour. Il y a, de plus, des infrastructures à développer, comme une station rapide Tel-Aviv – Beer Sheva, un tramway dans la ville, voire un aéroport pour décharger Ben Gurion.

      Beaucoup de problèmes ont néanmoins été résolus. 20% de la production agricole provient du Sud, ce qui est impressionnant pour une région désertique. Des solutions telles que la désalinisation pallie le manque d’eau dans la région, parmi d’autres innovations développées par des startups israéliennes. La Desertech est un nouveau tremplin de richesse à l’économie israélienne. La question du désert concerne la moitié de la planète.

      “Beer Sheva a bondi de plus de 40% depuis 2010, au même titre que le prix moyen d’un appartement en Israël.”

      Comment se porte le marché immobilier ?

      S.M. : Negev Inside se concentre sur Beer Sheva pour le pôle immobilier et dans le reste du Negev pour le pôle hôtelier. Concernant l’immobilier, Beer Sheva a bondi de plus de 40% depuis 2010, au même titre que le prix moyen d’un appartement en Israël. Le prix d’un bien, de 600 000 shekels, est aujourd’hui passé à 1 100 000 shekels. En novembre 2021, plus de 3 000 transactions ont été enregistrées, comme « sa grande sœur » Tel-Aviv. Les investisseurs se tournent principalement autour des universités, où il y a plus de 30 000 étudiants. La population est jeune et active et le maire, Ruvnik Danilovtz, très entreprenant.

      Et s’agissant des hôtels ?

      S.M. : Le Negev a marqué beaucoup de points durant la période Covid grâce à un renforcement du tourisme interne. De nouveaux projets ont vu le jour, tels que le Kedma à Sde Boker ou le Six Senses en plein désert. Des chaînes internationales s’intéressent ainsi à cet endroit magnifique. Le tourisme du désert est de plus en plus en vogue, d’autant plus qu’il vient pallier le problème de désertification. Toute construction doit bien évidemment se faire dans le respect de la nature et de l’environnement, dans un esprit écologique et design.

      Ainsi, cette région présente beaucoup d’intérêt en termes d’investissement pour les années à venir. Ce partenariat avec Herez Israël permet d’accélérer notre développement et celui de la région.

       

      Article achevé de rédiger le 10 mars 2022.

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        Qu’est-ce que le « Petit-Déj des Investisseurs » ?

        Le « Petit-Déj des Investisseurs » est notre rendez-vous trimestriel afin de réunir les particuliers francophones qui souhaitent comprendre davantage le marché israélien afin de pouvoir y investir. C’est également l’occasion pour nous de vous présenter notre cabinet de gestion de patrimoine et partager avec vous nos convictions concernant le proche futur.

        En ce dimanche 13 février, c’est dans nos bureaux, sur le boulevard  Rothschild, que nous nous sommes retrouvés afin d’échanger autour du thème de l’investissement immobilier en Israël.

        Après avoir mentionné en bref les derniers chiffres et performances de l’État Hébreu, qui présente une croissance de 7% pour l’année 2021 ainsi qu’un taux de chômage à 4,1%, nous nous sommes attardés sur les principales raisons de l’euphorie immobilière en Israël.La forte croissance démographique dû au taux de fécondité le plus élevé de l’OCDE (3,01), un âge moyen de 30 ans, ainsi que la rareté des terrains dû aux contraintes géographiques, sont les principales raisons qui expliquent la croissance des prix des logements (10,6% pour 2021).

        Une mise à jour sur les lois du marché israélien

        Nous avons également pris soin de mentionner les nouveautés 2021-2022 comme l’augmentation de la taxe d’acquisition, le changement de la Loi Mehir LeMichtaken en Loi Mehir Moufhat, mais aussi la refonte du TAMA-38.

        Par la suite, nous avons présenté différents tableaux comparatifs entre plusieurs types d’investissements immobiliers.  De cette manière, nous avons pu introduire les investissements de type « club-deal »,et détaillé trois de nos opérations immobilières, à Beer-Sheva, Bat Yam et Hatikva.  

        Pour conclure, une dizaine d’investisseurs ont pu bénéficier d’une présentation des Pépites Herez – notre sélection des projets immobiliers qui présentent un rendement élevé ainsi qu’un ratio bénéfice/risque particulièrement intéressant.

        Pour découvrir nos futures sélections, ne manquez pas notre prochain rendez-vous du « Petit-Déj des Investisseurs » !

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          Visite du vignoble du Domaine du Castel

          En ce dimanche 26 décembre 2021, c’est au Domaine du Castel, un charmant vignoble en Haute Judée, proche de Jérusalem, que nous nous sommes réunis afin de participer à une visite et une dégustation de vins.

          L’histoire du Domaine du Castel est surprenante tant elle est le résultat à la fois du hasard, du travail mais également de valeurs de sionisme. Elie Ben Zaken, originaire d’Alexandrie, a immigré en Israël dans les années 70 depuis Milan. Il avait pour rêve de travailler la terre d’Israël et de la faire fructifier. Après avoir acheté un bout de terrain près de Jérusalem, il planta son premier vignoble en 1988 et obtenu sa première récolte quatre années plus tard. Non certain de la qualité de ses premières bouteilles et dans une quête de perfection, Eli envoya une bouteille au directeur de la Maison de Vente aux Enchères Sotheby à Londres. Ce dernier su convaincre Elie de la qualité de son vin et l’encouragea vivement à continuer son entreprise. Le vignoble Castel, faisant référence aux forteresses de l’époque des croisades, était né.


          De quoi avons-nous parlé ?

          Après avoir profité de la dégustation, nous nous sommes penchés sur l’activité, l’actualité et la fiscalité immobilière en Israël, en collaboration avec l’expert-comptable et fondateur du cabinet Assuline & Co, Moshe Assuline. Tout d’abord, nous avons rappelé quelques chiffres clefs sur l’économie du pays afin de mieux comprendre l’écosystème dans lequel nous évoluons. Avec un PIB de 6,3% et un taux de chômage à 4,5% en novembre 2021, le pays fait preuve d’une grande résilience et les effets de la fin de la crise sanitaire se font ressentir. 

          Par la suite, nous avons présenté différents tableaux comparatifs entre plusieurs types d’investissements immobiliers. De cette manière, nous avons pu introduire les investissements de type « club-deal » et détaillé trois de nos opérations immobilières. 

          Nous avons également tenu à présenter notre conviction, celle d’investir dans le Negev. Ce désert couvre près de 60% de la surface du territoire et pourtant n’est occupé que par moins de 10% de la population d’Israël. De très grands projets d’investissement lui sont consacrés afin d’y développer son centre académique, son parc High-Tech et le tourisme. 

          Herez Israël, en partenariat avec Sandy Madar, CEO de Negev Inside, partagent donc la même vision que David Ben Gurion et voient dans le désert du Negev à la fois une opportunité financière mais aussi un engagement sioniste.

          Pour conclure, une vingtaine d’investisseurs présents ont pu bénéficier d’une présentation des Pépites Herez – notre sélection des projets immobiliers qui présentent un rendement élevé ainsi qu’un ratio bénéfice/risque particulièrement intéressant.

          Pour découvrir nos futures sélections, ne manquez pas nos prochains événements !

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