Investissement immobilier en Israël : conquérir le désert

Dans un souci constant de décrypter les meilleures opportunités en Israël aux côtés d’experts qualifiés, Herez Israël signe un partenariat exclusif avec la société de conseil en investissement immobilier et hôtelier Negev Inside. Sa fondatrice, Sandy Madar, nous fait part, dans cette interview, de cette aventure de l’entrepreneuriat dans le sud du pays, où elle guide les francophones vers l’immobilier de demain.

Herez Israël. En 2019, vous créez Negev Inside. Pourquoi avoir choisi la région du Neguev ?

investir NeguevSandy Madar : La démographie israélienne ne cesse de croître et doublerait d’ici 2048. Il est donc urgent de développer un nouveau pôle face à seize millions d’habitants prévus. Au-delà de cette nécessité, j’avais envie en tant que franco-israélienne que la clientèle francophone participe à ce développement. Grâce à une expérience de près de dix ans en immobilier, Negev Inside intervient dans l’analyse du marché et de ses opportunités, en s’appuyant sur une double culture et un fort réseau local. À ce jour, les deals conclus avec des clients représentent un volume de plus de 100 millions de shekels.

Quel intérêt mesurez-vous chez cette clientèle ?

S.M. : Du fait d’un renforcement conséquent du shekel et de la hausse des prix de l’immobilier à Tel-Aviv et ses alentours, les Français s’intéressent de plus en plus aux endroits excentrés. Je souhaite les aider à choisir des villes stratégiques. Une ville a un fort potentiel de croître si trois secteurs se développent, à savoir : les infrastructures, l’emploi et l’éducation. Comme Beer Sheva.

Quel est l’état du marché face à ce bouleversement déjà bien engagé ? 

S.M : En effet, la transformation du Neguev est déjà en marche. De nombreuses opportunités voient continuellement le jour. Avec Herez Israël, nous souhaitons consolider notre positionnement notamment à Beer Sheva, qui est au premier plan de cette transformation. Cela porte déjà ses fruits.

“Une ville a un fort potentiel de croître si trois secteurs se développent, à savoir : les infrastructures, l’emploi et l’éducation, comme Beer Sheva.”

Qu’est-ce que représente le Neguev en Israël ?

Investir à Beer ShevaS.M. : Cette région représente quasiment les deux tiers du pays, avec une population de moins d’un million d’habitants concentrée principalement dans la partie Nord-Ouest. Il existe une dizaine de villes telles que Dimona, Ofakim ou encore Arad (plus de 20 000 habitants), une centaine de yechouvim (petits villages de moins de 2 000 habitants) et bien évidemment Beer Sheva, la métropole du Neguev, qui compte plus de 220 000 habitants. Beer Sheva est une des huit grandes villes d’Israël et la deuxième plus grande ville en termes de superficie, après Jérusalem. La population bédouine représente 2,5% de la population répartie entre une quinzaine de localités reconnues et des villages non reconnus par le gouvernement israélien.

Quels sont les enjeux de développement dans la région ?

S.M. : Il en existe plusieurs du fait de sa superficie, des conditions désertiques et des zones dédiées à l’armée israélienne. Parmi eux, il y a la question de régulariser certains villages bédouins, délaissée depuis plus de vingt ans et dorénavant à l’ordre du jour. Il y a, de plus, des infrastructures à développer, comme une station rapide Tel-Aviv – Beer Sheva, un tramway dans la ville, voire un aéroport pour décharger Ben Gurion.

Beaucoup de problèmes ont néanmoins été résolus. 20% de la production agricole provient du Sud, ce qui est impressionnant pour une région désertique. Des solutions telles que la désalinisation pallie le manque d’eau dans la région, parmi d’autres innovations développées par des startups israéliennes. La Desertech est un nouveau tremplin de richesse à l’économie israélienne. La question du désert concerne la moitié de la planète.

“Beer Sheva a bondi de plus de 40% depuis 2010, au même titre que le prix moyen d’un appartement en Israël.”

Comment se porte le marché immobilier ?

S.M. : Negev Inside se concentre sur Beer Sheva pour le pôle immobilier et dans le reste du Negev pour le pôle hôtelier. Concernant l’immobilier, Beer Sheva a bondi de plus de 40% depuis 2010, au même titre que le prix moyen d’un appartement en Israël. Le prix d’un bien, de 600 000 shekels, est aujourd’hui passé à 1 100 000 shekels. En novembre 2021, plus de 3 000 transactions ont été enregistrées, comme « sa grande sœur » Tel-Aviv. Les investisseurs se tournent principalement autour des universités, où il y a plus de 30 000 étudiants. La population est jeune et active et le maire, Ruvnik Danilovtz, très entreprenant.

Et s’agissant des hôtels ?

S.M. : Le Negev a marqué beaucoup de points durant la période Covid grâce à un renforcement du tourisme interne. De nouveaux projets ont vu le jour, tels que le Kedma à Sde Boker ou le Six Senses en plein désert. Des chaînes internationales s’intéressent ainsi à cet endroit magnifique. Le tourisme du désert est de plus en plus en vogue, d’autant plus qu’il vient pallier le problème de désertification. Toute construction doit bien évidemment se faire dans le respect de la nature et de l’environnement, dans un esprit écologique et design.

Ainsi, cette région présente beaucoup d’intérêt en termes d’investissement pour les années à venir. Ce partenariat avec Herez Israël permet d’accélérer notre développement et celui de la région.

 

Article achevé de rédiger le 10 mars 2022.

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    Vers la fin du monopole bancaire en Israël ?

    Le monopole bancaire en Israël est une réalité qui pèse sur les ménages israéliens. Comme pour d’autres secteurs de l’économie israélienne, un petit nombre d’entreprises truste un marché très fermé.

    Israël en situation de monopole bancaire

    Cette absence de concurrence permet à cinq banques d’imposer leurs tarifs et leurs règles sans que rien ne puisse s’y opposer. Pourtant, depuis plusieurs années, de nombreuses tentatives ont été faites pour libérer ce marché captif. En vain ! Jusqu’à présent tout au moins. Car les choses sont en train de changer. En effet, une nouvelle banque entièrement digitale a fait son apparition dans le paysage financier israélien. Une première depuis 40 ans. En version pilote pour le moment, elle pourrait faire bouger un marché sclérosé.

    Le secteur bancaire israélien est la chasse gardée de cinq banques. À elles seules, elles représentent 90% du marché. Mieux, les deux premières, Bank Hapoalim et Bank Leumi, trustent 70% du marché en Israël. On est donc bien dans une situation de monopole, ou plus précisément d’oligopole puisque plusieurs établissements sont concernés. Quelles sont les principales banques en Israël ?Banques israël

    • Bank Hapoalim
    • Bank Leumi
    • Discount Bank
    • Mizrahi-tefahot
    • First International Bank of Israel (Banque BenLeumi)

    Elles sont bien évidemment soumises à l’autorité de la Banque centrale d’Israël.

    Les israéliens, satisfaits de leurs banques ?

    Depuis de nombreuses années, des voix se sont élevées contre cette situation de monopole bancaire. Mais ces banques ont toujours fait en sorte que personne ne vienne jamais empiéter sur leur chasse gardée : les entreprises et les consommateurs israéliens.

    60% des Israéliens ne seraient pas satisfaits de leurs banques. Ils n’ont cependant pas d’autre alternative, captifs d’un système qui existe dans toutes les branches de l’économie. Car en Israël, les monopoles ne se cantonnent pas au système bancaire. Ils font partie de l’économie globale : les produits laitiers et, plus généralement, l’alimentation en sont les exemples les plus frappants.

    Pour les Français en Israël, qui ont l’habitude d’un système bancaire français qui ne coûte rien ou presque, le choc est de taille. Pas une opération sans frais. Retirer de l’argent ? Vous êtes taxé. Déposer un chèque ? Idem. Pour chaque opération, le consommateur paye. Et les services proposés ? Autant dire qu’il vaut mieux éviter les comparaisons ! En Israël, les banques coûtent cher pour des services presque inexistants.

    Restreindre le monopole bancaire israélien : des lenteurs

    L’idée d’apporter un peu de concurrence au système bancaire israélien n’est pas nouvelle. En 2006, Israël avait mis en place une importante réforme du marché des capitaux, connue sous le nom de « réforme Bachar ». Elle obligeait les banques à vendre les avoirs qu’elles détenaient dans des fonds communs de placement et de prévoyance pour réduire la concentration du secteur.

    Cinq ans plus tard, dans la foulée du mouvement de contestation sociale contre la vie chère, une commission interministérielle a été chargée de formuler des recommandations visant à accroître la concurrence. Mais les frais bancaires, jugés excessifs, ont à peine diminué.

    En 2015, Moshe Kahlon, ministre des finances de Benjamin Netanyahu, a de nouveau tenté de s’attaquer au monopole bancaire. À son actif, on lui devait la restructuration du marché des télécoms israéliens. Il avait ainsi permis au consommateur de diviser par deux à trois la facture des téléphones portables. Certaines mesures ont ainsi été introduites. Mais le secteur bancaire est beaucoup plus difficile à réformer que celui des télécoms.

    Monopole bancaire = stabilité financière ?

    Surtout, la Banque d’Israël ne paraissait pas vraiment décidée à promouvoir les réformes. Elle semblait vouloir laisser le système bancaire israélien exactement tel qu’il était. Leur argument ? C’est ce système qui a permis à Israël de surmonter la crise financière de 2008. Pour certains, faire entrer en concurrence les banques israéliennes et réduire la part de marché du duopole Hapoalim et Leumi aurait nuit à la stabilité du secteur.
    Vraiment ? Manifestement, la Banque centrale a entre-temps changé d’avis, ou, tout au moins, a été fortement poussée à le faire.
    « Après 43 ans, une nouvelle banque est en cours d’établissement en Israël, et c’est une autre bonne nouvelle pour la concurrence et l’innovation dans le secteur bancaire et financier« , a ainsi déclaré Amir Yaron, gouverneur de la Banque d’Israël. Autant dire que l’annonce de l’arrivée de la nouvelle banque digitale dans le paysage financier israélien fait naître beaucoup d’espoirs.

    One Zero, la première néo-banque israélienne

    One Zero est la première banque numérique israélienne. Connue jusqu’à présent sous le nom de First Digital Bank (FDB), c’est la première banque à avoir reçu une autorisation d’opérer en plus de 40 ans. Aucun établissement bancaire n’avait jusqu’ici réussi cet exploit. One Zero a été approuvé en 2019 et fonctionne pour le moment en mode beta, offrant des services bancaires aux employés et à leur famille.

    Monopole bancaireElle est actuellement contrôlée par Amnon Shashua. On lui doit la création de Mobileye (depuis rachetée par Intel), une société technologique d’assistance à la conduite de véhicules.  Il s’agit de proposer un “système bancaire novateur, une banque véritablement utile au grand public”. En décembre 2021, One Zero a levé 120 millions de dollars auprès d’un groupe d’investisseurs parmi lesquels le groupe chinois Tencent, la société japonaise SBI holding et la société financière suisse Julius Baer. Cette levée de table valorisait alors One Zero à 320 millions de dollars.

    L’année 2022 devrait marquer le lancement de la néo-banque sur le marché des consommateurs et des entreprises israéliennes. Les analystes vont observer avec attention son lancement. Car beaucoup espèrent que cette première banque entièrement numérique va enfin stimuler la concurrence dans un secteur qui en a bien besoin. D’ailleurs, depuis l’annonce de son arrivée, certains établissements bancaires ont proposé leurs propres agences digitales. La banque Leumi a ainsi introduit avec succès son application numérique Pepper. D’autres vont suivre.

    Quelle alternative ?

    L’objectif est d’offrir une alternative réelle au consommateur israélien et de se positionner en concurrence directe avec les big 5 de la finance israélienne. Pas d’agence physique mais des services 24/24 par chat en ligne et centre d’appels. Une intelligence artificielle proposera, selon l’établissement, des expériences personnalisées pour les clients.

    Elle offrira tous les services bancaires existants. On pourra y ouvrir des comptes personnels, des comptes joints, demander des prêts… Elle proposera des cartes de crédit, des garanties, des ordres permanents et des devises étrangères. Les prêts hypothécaires seront ajoutés à la liste des offres à l’avenir. Les prix des services seront équitables et transparents. 60 000 clients seraient déjà sur sa liste d’attente.

    Indépendante des groupes bancaires existants, la banque offrira, pour la première fois en Israël, une véritable alternative. Elle marque l’ouverture du secteur bancaire national à la concurrence, d’une manière inédite.

    Article achevé de rédiger le 6 février 2022.

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      Qu’est-ce que le « Petit-Déj des Investisseurs » ?

      Le « Petit-Déj des Investisseurs » est notre rendez-vous trimestriel afin de réunir les particuliers francophones qui souhaitent comprendre davantage le marché israélien afin de pouvoir y investir. C’est également l’occasion pour nous de vous présenter notre cabinet de gestion de patrimoine et partager avec vous nos convictions concernant le proche futur.

      En ce dimanche 13 février, c’est dans nos bureaux, sur le boulevard  Rothschild, que nous nous sommes retrouvés afin d’échanger autour du thème de l’investissement immobilier en Israël.

      Après avoir mentionné en bref les derniers chiffres et performances de l’État Hébreu, qui présente une croissance de 7% pour l’année 2021 ainsi qu’un taux de chômage à 4,1%, nous nous sommes attardés sur les principales raisons de l’euphorie immobilière en Israël.La forte croissance démographique dû au taux de fécondité le plus élevé de l’OCDE (3,01), un âge moyen de 30 ans, ainsi que la rareté des terrains dû aux contraintes géographiques, sont les principales raisons qui expliquent la croissance des prix des logements (10,6% pour 2021).

      Une mise à jour sur les lois du marché israélien

      Nous avons également pris soin de mentionner les nouveautés 2021-2022 comme l’augmentation de la taxe d’acquisition, le changement de la Loi Mehir LeMichtaken en Loi Mehir Moufhat, mais aussi la refonte du TAMA-38.

      Par la suite, nous avons présenté différents tableaux comparatifs entre plusieurs types d’investissements immobiliers.  De cette manière, nous avons pu introduire les investissements de type « club-deal »,et détaillé trois de nos opérations immobilières, à Beer-Sheva, Bat Yam et Hatikva.  

      Pour conclure, une dizaine d’investisseurs ont pu bénéficier d’une présentation des Pépites Herez – notre sélection des projets immobiliers qui présentent un rendement élevé ainsi qu’un ratio bénéfice/risque particulièrement intéressant.

      Pour découvrir nos futures sélections, ne manquez pas notre prochain rendez-vous du « Petit-Déj des Investisseurs » !

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        Hausse du shekel : quelles conséquences pour les Français ?

        Jusqu’où ira le Shekel ? En fin d’année dernière, l’euro tombait autour de 3,60 shekels, son plus bas depuis 25 ans. Un plancher ? Pas vraiment. Il semblerait que cela ne soit que le début.

        Pourquoi le shekel est fort ?

        Depuis le début de lannée 2022, la devise israélienne sest renforcée. Le cours euro shekel a quant a lui encore baissé. Il se situe désormais à 3,55 shekels*. Sur un an, leuro a perdu plus de 8,30%. Et selon de nombreux analystes, la force de la monnaie israélienne ne devrait pas faiblir cette année. La chute de la devise européenne ne manque pas dinquiéter les Français. Quils soient Israéliens, désireux de faire leur Alya, ou voulant simplement investir en Israël, ils sinterrogent. La flambée du shekel, une bonne ou mauvaise nouvelle ?

        La situation est paradoxale. Alors que les économies mondiales sortent difficilement dune crise sanitaire qui nen finit pas, l’économie israélienne fait preuve dune incroyable résilience. En 2021, selon une étude publiée par Dunn and Bradstreet, l’économie israélienne aurait enregistré une croissance de 7%. Cest bien plus que la moyenne mondiale qui s’élève à 5,9%.

        L’économie dIsraël est tirée depuis plusieurs années par son secteur technologique. Il continue d’être son principal moteur de croissance. Bien que le pays nait pas été épargné par les conséquences de la crise sanitaire, ses fondamentaux restent bons. Ce qui explique la bonne santé de sa devise, face à leuro mais aussi face au dollar américain. Cette situation nest, en réalité, pas nouvelle. Depuis plusieurs années, le cours du NIS na fait que se renforcer.

        Pour de nombreux analystes, tout concourt pour que le shekel continue sur sa lancée et reste à de hauts niveaux en 2022. Il y a même de fortes chances quil continue de progresser notamment face à leuro.

        Quel impact pour les Français ?

        Pour les résidents israéliens qui perçoivent des revenus en France, le change leur est désormais fortement défavorable. Doivent-ils garder leurs euros en espérant une remontée ou au contraire investir dans des projets en shekels qui leur assureraient un certain rendement ?

        Pour le moment, les analystes nenvisagent pas une hausse du cours de leuro face au NIS en 2022. Par conséquent, détenir des shekels semble être une option raisonnable. Dautant quil faut aussi vivre au quotidien. Pour les Israéliens dorigine française, il devient aujourdhui essentiel de créer et disposer dune source de revenu en Israël. Investir dans une entreprise ou dans un projet immobilier peut, en ce sens, constituer la solution idéale. Il est clair quil est désormais plus intéressant de disposer dune activité en Israël, où ils vivent et consomment.

        Pour les Français souhaitant investir en Israël, notamment dans limmobilier, la hausse du shekel est un facteur dinquiétude. À tort. Il ne faut pas faire de raccourcis et bien analyser la situation en l’évaluant dans son ensemble. Acheter un appartement, créer ou prendre des parts dans une entreprise de valeur reste une option intéressante, notamment en situation de hausse du shekel.

        Faut-il investir en Israël ?

        Pour une grande majorité danalystes économiques, le shekel va rester ferme face à leuro et au dollar en 2022. L’économie israélienne est en bonne santé. Les prix immobiliers nont jamais été aussi élevés. En dix ans, ils ont presque doublé et tout porte à croire que cela va continuer.

        Rien que pour lannée 2021, les prix ont augmenté de 10,3 % d’après les chiffres publiés par le Bureau Central des Statistiques le 15 décembre dernier. Sommes-nous en train de vivre une bulle de limmobilier ? Non, selon la banque dIsraël. Cette hausse est le résultat, entre autres, dun déficit de logements. Les prix augmentent dans tout Israël. À Tel Aviv bien sûr, mais tout le pays est concerné, y compris le nord.

        Le marché du logement est florissant. Investir dans limmobilier en Israël pourrait donc être une solution viable pour se protéger de la baisse de leuro. Linvestissement locatif permet aux français de se protéger contre l’érosion monétaire. Dautant que, contrairement à la France, la législation concernant la fixation des loyers est beaucoup moins contraignante.

        En octobre, le ministre des Finances Avigdor Liberman a annoncé un ambitieux plan logement pour 2022-2025 visant à augmenter loffre et freiner la hausse des prix. Sur ce dernier point, certains demeurent sceptiques. Quoi quil en soit, cela ne pourra que créer de nouvelles opportunités dans un marché très tendu.

        Aujourdhui, il existe de nombreuses possibilités dinvestissement immobilier en Israël. Elles permettent dassurer des rendements intéressants. Cela représente autant dopportunités tant pour les investisseurs résidant en France, que ceux ayant fait leur Alya.

         

        Pour toute question concernant vos projets patrimoniaux, contactez-nous en remplissant le formulaire ci-dessous.

         

        *Article achevé de rédiger le 16 janvier 2022.

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          Visite du vignoble du Domaine du Castel

          En ce dimanche 26 décembre 2021, c’est au Domaine du Castel, un charmant vignoble en Haute Judée, proche de Jérusalem, que nous nous sommes réunis afin de participer à une visite et une dégustation de vins.

          L’histoire du Domaine du Castel est surprenante tant elle est le résultat à la fois du hasard, du travail mais également de valeurs de sionisme. Elie Ben Zaken, originaire d’Alexandrie, a immigré en Israël dans les années 70 depuis Milan. Il avait pour rêve de travailler la terre d’Israël et de la faire fructifier. Après avoir acheté un bout de terrain près de Jérusalem, il planta son premier vignoble en 1988 et obtenu sa première récolte quatre années plus tard. Non certain de la qualité de ses premières bouteilles et dans une quête de perfection, Eli envoya une bouteille au directeur de la Maison de Vente aux Enchères Sotheby à Londres. Ce dernier su convaincre Elie de la qualité de son vin et l’encouragea vivement à continuer son entreprise. Le vignoble Castel, faisant référence aux forteresses de l’époque des croisades, était né.


          De quoi avons-nous parlé ?

          Après avoir profité de la dégustation, nous nous sommes penchés sur l’activité, l’actualité et la fiscalité immobilière en Israël, en collaboration avec l’expert-comptable et fondateur du cabinet Assuline & Co, Moshe Assuline. Tout d’abord, nous avons rappelé quelques chiffres clefs sur l’économie du pays afin de mieux comprendre l’écosystème dans lequel nous évoluons. Avec un PIB de 6,3% et un taux de chômage à 4,5% en novembre 2021, le pays fait preuve d’une grande résilience et les effets de la fin de la crise sanitaire se font ressentir. 

          Par la suite, nous avons présenté différents tableaux comparatifs entre plusieurs types d’investissements immobiliers. De cette manière, nous avons pu introduire les investissements de type « club-deal » et détaillé trois de nos opérations immobilières. 

          Nous avons également tenu à présenter notre conviction, celle d’investir dans le Negev. Ce désert couvre près de 60% de la surface du territoire et pourtant n’est occupé que par moins de 10% de la population d’Israël. De très grands projets d’investissement lui sont consacrés afin d’y développer son centre académique, son parc High-Tech et le tourisme. 

          Herez Israël, en partenariat avec Sandy Madar, CEO de Negev Inside, partagent donc la même vision que David Ben Gurion et voient dans le désert du Negev à la fois une opportunité financière mais aussi un engagement sioniste.

          Pour conclure, une vingtaine d’investisseurs présents ont pu bénéficier d’une présentation des Pépites Herez – notre sélection des projets immobiliers qui présentent un rendement élevé ainsi qu’un ratio bénéfice/risque particulièrement intéressant.

          Pour découvrir nos futures sélections, ne manquez pas nos prochains événements !

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