Immobilier : partenariat entre Herez Israël et Negev Inside

Communiqué de presse – Janvier 2022

Le Negev est une région désertique dans le sud du pays, représentant plus de la moitié en superficie du territoire. Sandy Madar, CEO de Negev Inside, experte de la région, signe un partenariat exclusif avec Herez Israël afin de favoriser les investissements immobiliers dans cette zone pleine de promesses.

La population israélienne, aujourd’hui estimée à près de 9,5 millions, atteindra les 15 millions d’habitants en 2048. Pour faire face à cette démographie, il devient urgent de développer d’autres métropoles.
Depuis 2005, plus de 20 milliards de shekels ont été investis par le gouvernement dans le Néguev. Beer Sheva, sa capitale, est la deuxième plus grande ville d’Israël. Ville universitaire, parc high-tech, futur quartier militaire cyber, nouvel hôpital… Les infrastructures, l’emploi et l’éducation y sont en pleine évolution.

Fort de ce constat, et dans un souci constant de décrypter les meilleures opportunités en Israël aux côtés d’experts qualifiés, Herez Israël a décidé de signer un partenariat exclusif avec la société de conseil en investissement immobilier et hôtelier Negev Inside, fondée par Sandy Madar, pour accompagner ses clients francophones dans l’immobilier de demain. 

 Sandy Madar est diplômée d’un Master 2 en mathématiques appliquées à la finance et à l’économie, spécialité finances des marchés de l’université Paris-Dauphine. Elle fait ses premières armes dans le milieu bancaire français en tant qu’analyste risque de crédit chez Newedge puis chez BNP Paribas. Elle crée en 2019 Negev Inside, une société de conseil en investissement immobilier et hôtelier dans la région du Néguev et tout particulièrement Beer Sheva.  

« Cette année, le gouvernement a prévu un plan de développement de plus de 160 millions de dollars à destination des communautés du désert du Néguev. Grâce à un fort réseau local dans le Sud, les propositions d’investissement se multiplient. Je me réjouis de ce partenariat avec une maison comme Herez en Israël. Il permet d’accélérer notre développement et obtenir une forte crédibilité localement.», souligne-t-elle. 

Laurent Perez, Directeur Général de Herez Israel poursuit :

« Les Françaisinvestissent de plus en plus en dehors de TelAviv et ses alentours, du fait d’un renforcement conséquent du shekel et d’un prix dans le centre très élevé. Nous sommes convaincus du potentiel qu’offre le Negev et sommes heureux de pouvoir accompagner nos clients sur ce terrain grâce à l’expertise de Negev Inside. »

Herez Israël, filiale dHerez, groupe français de premier plan spécialisé dans le conseil en gestion de patrimoine, a été créée pour renforcer la proximité avec nos clients désormais installés en Israël, et plus largement, proposer une offre de services sur mesure aux francophones intéressés par l’investissement en Israël. 

L’investissement immobilier en Israël : quel avenir pour 2022 ?

Tel-Aviv a été classée ville la plus chère du monde en 2021. La montée des prix, liée à la flambée du shekel, concerne également l’immobilier. Est-il encore possible d’acheter un appartement en Israël ?

L’immobilier en Israël

2021 villes les plus chères

L’étude annuelle de l’Economist Intelligence Unit sur le coût de la vie, publiée fin novembre 2021, hisse Tel-Aviv en tête du classement de la ville la plus chère au monde. Une première pour la capitale commerciale d’Israël, qui atteignait l’année dernière la cinquième place et qui, aujourd’hui, dépasse Paris et Singapour. Les principales raisons ? L’appréciation du shekel, qui flambe face au dollar américain ainsi que l’augmentation du prix des marchandises, notamment à cause des perturbations des chaînes d’approvisionnement.

 

Si le classement ne prend pas en compte le prix de l’immobilier à Tel-Aviv, le marché immobilier y est tout de même florissant. La hausse des prix se ressent particulièrement dans la pierre et pas seulement à Tel-Aviv. Une aubaine pour certains, une dure réalité pour d’autres. Rappelons que la crise du logement fait rage dans le pays depuis une décennie. L’offre insuffisante d’appartements, contrôlée par le gouvernement israélien, fait face à un besoin accru qui ne s’améliore pas avec le temps. On estime que la population israélienne, de 9,39 millions en septembre dernier, devrait atteindre 15 millions en 2048 d’après le Bureau Central des Statistiques. Qu’il va falloir loger.

 

Le potentiel du marché immobilier en Israël

Le prix de l’immobilier en Israël a connu une augmentation de 10,3 %, sur un an seulement, d’après les chiffres publiés par le Bureau Central des Statistiques le 15 décembre dernier. Alors même que les banques continuent à délivrer massivement des prêts immobiliers en Israël, acheter un appartement en Israël et plus particulièrement en centre-ville paraît ainsi compliqué, surtout pour les primo-accédants.

 

 

Le graphique ci-contre, publié par le Bureau Central des Statistiques, compare la moyenne du prix immobilier dans certaines zones d’Israël, entre les troisièmes trimestres 2020 et 2021. La plus importante augmentation des prix enregistrée concerne le centre (15,1 %), suivie de Jérusalem (14,3 %). Les prix de l’immobilier à Tel-Aviv restent les plus élevés par rapport aux autres régions, malgré une augmentation plus modérée d’une année sur l’autre.

 

Le centre-ville paraît de plus en plus inaccessible. Les proches agglomérations suscitent ainsi notre intérêt. Face à une économie israélienne robuste, le cabinet Herez est plutôt optimiste.

Économie Israélienne : état des lieux

économieL’économie israélienne a nettement rebondi en 2021, malgré la crise du coronavirus. En cause, une campagne vaccinale réussie : à fin août, plus de 60 % des Israéliens avaient reçu deux doses de vaccin. De plus, la monnaie israélienne, le Shekel, s’est renforcée, atteignant des records face à l’euro et le dollar. Le marché du travail reprend également des couleurs : le taux de chômage en novembre, de 4,5 % est encourageant. Enfin, les sociétés high-tech continuent d’atteindre des sommets. D’après un rapport de Start-Up Nation Central (SNC) publié mi-décembre, 33 entreprises sont devenues des licornes en 2021.

Le PIB d’Israël est estimé à 6,3 % selon l’OCDE. Il dépasse ainsi les prévisions du PIB mondial, à 5,6 %. Pour 2022, le PIB israélien atteindrait 4,9 %, toujours au-delà du PIB mondial, à 4,5 %. La situation sanitaire pourrait ralentir la situation, de même que la hausse de l’inflation, si elle persiste.

Ainsi, l’économie israélienne est résistante et possède de nombreux relais de croissance. La vocation de notre cabinet en gestion de patrimoine consiste à faire profiter nos clients de ce dynamisme.

Les conseils de Herez Israël pour investir en Israël

La diversification des investissements est essentielle afin de limiter les risques. La part de l’immobilier dans le patrimoine global augmente, de plus, au fil des ans. Il est donc important de parler de l’investissement immobilier en Israël, et de porter à la connaissance de nos clients qu’il existe plusieurs approches pour s’exposer à ce marché. Herez Israël recense ainsi des investissements en pierre mais également en pierre-papier (ou club-deal immobilier).

Investir en Israël dans des projets immobiliers est tout à fait possible. Un club-deal consiste à financer une opération de promotion immobilière. Nous travaillons avec des promoteurs triés sur le volet. Les fonds provenant de particuliers, nos clients, complètent le prêt immobilier en Israël, fourni par les banques. La durée de l’investissement est de trois ans. Quant à la rentabilité moyenne, elle se situe entre 7 et 12 %. L’investisseur peut choisir une rémunération à travers des coupons, versés au cours du projet. Il peut sinon préférer capitaliser les intérêts pour une meilleure rentabilité, et être remboursé à la fin du projet. En voici une illustration :

Coupons Intérêts capitalisés
Rentabilité brute 7 % par an > 12 % par an
Remboursement des intérêts En cours de projet (trimestriel/annuel) À la fin du projet
Fiscalité 15 % par an
Garantie bancaire ✔️ ✔️
Minimum investissement 1 000 000 NIS 1 000 000 NIS

 

Pour toute question concernant un investissement immobilier en Israël, contactez-nous en remplissant le formulaire ci-dessous.

Article achevé de rédiger le 29 décembre 2021.

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    Israël, les news – Novembre 2021

    Comment se porte l’économie israélienne après quatre vagues de coronavirus ? Le tout nouveau budget 2022 va-t-il résoudre la crise du logement que traverse le pays depuis une décennie ? Herez Israël vous propose ce billet d’actualité.

    Focus Économie Israélienne Post Covid

    Les effets de la campagne massive de vaccination se font ressentir dans le pays. Alors que les prévisions mondiales pour 2021 ont été réduites par le FMI, passant de 6 % à 5,9 %, l’organisation a revu à la hausse les prévisions de croissance du PIB de l’économie israélienne, passant de 5 % à 7,1 %.

    Cette embellie est due à une flagrante reprise de l’économie, couplée à une consommation des ménages qui se redresse à un rythme plus rapide que prévu. La machine du tourisme se dérouille progressivement, particulièrement depuis l’ouverture des frontières début novembre à certains étrangers vaccinés. De plus, les exportations croissent également. Enfin, pour couronner le tout, l’agence de notation Fitch maintient une note de A+ * pour Israël depuis l’adoption du budget.

    Nouveau budget 2022

    L’impasse politique est en effet débloquée suite à l’adoption, le 4 novembre dernier, du budget 2021, empêchant ainsi une dissolution du Parlement. Le budget 2022 a de plus été adopté le lendemain. Ce soulagement permet ainsi à l’État de se concentrer sur les prochaines réformes visant notamment à réduire le coût de la vie ou encore remédier à la crise du logement.

    Où en est la crise du logement ?

    marché immobilier Israël

    La crise du logement que traverse le pays depuis dix ans est particulièrement marquée. Tout d’abord, les inégalités sociales se creusent. Les prix du marché immobilier excluent les primo-accédants. En parallèle, les taux d’intérêt historiquement bas, fixés par la Banque d’Israël, encouragent les emprunts, qui ne cessent de se multiplier. Seulement au mois d’août dernier, 11,9 milliards de shekels d’hypothèques ont été souscrits par les israéliens. Les chiffres publiés par la Banque d’Israël révèlent de plus que les israéliens ont souscrit des prêts hypothécaires d’une valeur de 92 milliards de shekel (env 26 milliards d’euros) au cours des dix premiers mois de 2021, dépassant le record de l’année 2020 qui a comptabilisé 78 milliards de shekel d’hypothèques (env 22 milliards d’euros).

    Quelles sont les raisons de cette crise ?

    En premier lieu, l’offre est insuffisante par rapport à la demande, qui est, elle, de plus en plus croissante. On estime d’ailleurs que la population israélienne, de 9,39 millions en septembre dernier, devrait atteindre 15 millions en 2048, d’après le Bureau Central des Statistiques.

    Le gouvernement contrôle ensuite l’offre des terrains. Par conséquent, cette limitation volontaire raréfie l’offre et fait donc monter les prix.

    Le manque d’infrastructures conduit de plus les autorités locales à refuser de nouvelles constructions. Les municipalités ont même tendance à favoriser la construction de zones non résidentielles car cela leur coûte moins cher. En effet, qui dit résidentiel dit infrastructures conséquentes : routes, écoles, etc.

    Ainsi, les prix montent inexorablement ; le Bureau central des statistiques rapporte que les prix de l’immobilier ont augmenté de plus de 8 % entre septembre 2020 et septembre 2021.

    L’avenir du marché immobilier en Israël

    Les politiques redoublent d’efforts pour remédier à cette crise. Ils prévoient par exemple la construction de 280 000 logements d’ici quatre ans afin de combler l’écart entre l’offre et la demande, soit 70 000 logements par an. Par rapport à 2020, cela correspond à environ 20 000 permis résidentiels supplémentaires (source CBS et OCDE).

    Le pendant est de pénaliser les investisseurs, de plus en plus nombreux sur le marché immobilier. Pour ralentir leur frénésie, une augmentation de la taxe d’achat est prévue pour les acheteurs de résidences secondaires, passant de 5 % à 8 %. De plus, une nouvelle directive de la Banque d’Israël et non des moindres interdit désormais l’hypothèque d’un logement existant comme garantie pour l’achat d’un autre logement. Une certaine flexibilité est toutefois préservée pour les prêts-relais sur une période maximale de deux ans.

    Si elles peuvent aider à freiner l’augmentation des prix, ces mesures ne suffisent pas. L’accent doit en effet être mis particulièrement sur l’offre, mais aussi sur les infrastructures.

    Dans un article paru au Globes, le professeur Michael Humphries estime que le marché locatif est trop peu développé en Israël contrairement à l’Europe et aux États-Unis. Les loyers, trop chers, poussent les particuliers à acheter plutôt qu’à louer. Cette pression d’achat doit être réduite, et cela doit nécessairement passer par une offre de location plus importante, et mettre en place des avantages fiscaux d’un côté et une protection des locataires de l’autre. La précipitation d’acheteurs sera moins accrue, ce qui limitera la hausse des prix des logements.

    *L’agence Fitch définit la note A sur son site, pour la catégorie du défaut de l’émetteur : « Qualité de crédit élevée. Les notes « A » dénotent des attentes de faible risque de défaut. La capacité de paiement des engagements financiers est jugée forte. Cette capacité peut néanmoins être plus vulnérable aux conditions économiques ou commerciales défavorables que les cotes plus élevées. »

    Article achevé de rédiger le 23 novembre 2021

    L’avis de Herez Israël

    Un bel horizon se profile pour l’économie israélienne, sous réserve des prochaines vagues. Si l’augmentation de l’offre immobilière ne suffit pas à répondre à la demande croissante des logements, elle reste favorable à l’essor de projets intéressants, en centre-ville ou ailleurs. Si vous souhaitez un accompagnement avec une équipe d’experts pour une acquisition immobilière ou pour participer à un club deal immobilier, vous pouvez nous contacter en remplissant le formulaire ci-dessous.

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      Peer to Peer Lending : relier les investisseurs aux entreprises israéliennes

      Une nouvelle opportunité offre aux épargnants la possibilité d’investir en shekel dans l’économie israélienne. Be The Bank, une fintech en plein essor en Israël de financement participatif, ou peer to peer lending, permet aux investisseurs de participer directement au développement d’entreprises et entrepreneurs.

      Le financement participatif, une alternative aux banques

      Les placements classiques ne correspondent plus totalement aux exigences des investisseurs, tant en matière de rendement que d’impact. Ces derniers font part d’une volonté de plus en plus marquée de donner du sens à leur épargne.

      Pourtant, cette dernière continue d’abonder en cette période de crise. Depuis le premier confinement (mi-mars 2020) jusqu’à fin mars 2021, la Banque de France estime à 142 milliards d’euros l’épargne des Français. Rien qu’en avril 2021, près de 3,8 milliards d’euros ont été collectés sur les livrets A et LDDS, d’après la Caisse des Dépôts.

      Faire le choix de sécuriser son patrimoine face à un avenir incertain rassure les investisseurs. Nombreux sont ceux qui préfèrent, à l’inverse, participer activement à l’économie réelle. Ils s’orientent ainsi vers de nouvelles classes d’actifs, et notamment les plateformes de financement participatif, qui ont connu un grand succès.

      Ce mode alternatif de financement consiste, selon le Centre de documentation Économie Finances, en « un échange de fonds entre individus en dehors des circuits financiers institutionnels, afin de financer un projet via une plateforme en ligne ». Il s’agit d’intermédiaires, de porteurs de projets organisant des levées de fonds. Ulule ou Leetchi en sont des exemples.

      En France, de telles plateformes ont collecté 1,02 milliard d’euros en 2020, en croissance de 62% par rapport à l’année précédente, d’après le baromètre de référence du financement alternatif en France publié récemment par Mazars et l’association Financement Participatif France (FPF). Trois types de crowdfunding (littéralement « financement par la foule » en anglais) existent. Tout d’abord le don, l’investissement en capital (crowdequity) et enfin le prêt participatif (crowdlending ou peer to peer lending).

      Ce dernier consiste à lever des fonds qui sont par la suite distribués à des personnes physiques ou morales, contre remboursement du capital avec intérêts. Le taux d’intérêt (« interest rates ») peut varier notamment en fonction de la réussite du projet. En Europe, le leader dans le domaine du peer to peer (P2P) lending est Mintos.

      Le P2P lending élargit le champ des opportunités. Cette nouvelle classe d’actifs permet en effet à des particuliers de financer des projets d’avenir.

      C’est ce que propose une plateforme Peer to Peer pionnière en Israël. Celle-ci permet de connecter les investisseurs à des entreprises israéliennes ayant une activité depuis au moins deux ans et souhaitant la développer.

      Baptisée Be The Bank, cette plateforme de financement a été fondée en 2014 par d’anciens hauts responsables de principales banques israéliennes (Discount, Leumi). Elle est aujourd’hui régulée par l’autorité de la Bourse et des Assurances, dans le cadre de la loi d’Inspection des Services Financiers.

      Be The Bank, ou participer au développement de l’activité économique en Israël

      Durant la crise sanitaire, l’activité économique mondiale a été soumise à rude épreuve. Les entreprises en ressentent encore aujourd’hui les effets. On ne compte plus les entreprises qui ont, fatalement, connu de grosses difficultés financières jusqu’à faire faillite.

      Israël fait figure d’exception. La Terre promise peut se targuer d’avoir mené de main de maître sa campagne de vaccination. Limitant l’arrêt de l’activité économique particulièrement dans le domaine de la tech, cette vaccination quasi militaire lui a valu un rapide redressement économique.

      Les prévisions économiques sont de plus très optimistes. Lors d’une conférence de presse début mai, le gouverneur de la Banque d’Israël Amir Yaron a déclaré que la croissance fin 2022 ne devrait être inférieure que de 1,4 % à son niveau d’avant-crise. Il reste ainsi au pays d’Abraham plus d’un an pour effacer quasiment l’impact du coronavirus sur son niveau de PIB.

      L’activité économique rattrape donc son retard. Et les PME israéliennes ont d’autant plus besoin de financement, faute de fonds propres suffisants. Elles s’adressent principalement aux banques, mais il peut également être intéressant pour elles de se tourner vers des plateformes de peer-to-peer lending. Ces intermédiaires en financement participatif sont intéressantes car, en faisant appel à l’épargne privée, elles augmentent de cette façon leur capacité de financement.

      Il est cependant essentiel de faire face aux risques de défaillance des entreprises emprunteuses.

      C’est pourquoi la plateforme Be The Bank opère une sélection scrupuleuse parmi ces PME fondées avant la crise sanitaire. Elles sont passées au peigne fin ; analysées puis filtrées par une commission de crédit. Be The Bank peut compter sur ses fondateurs, d’importants acteurs issus du milieu bancaire israélien, pour évaluer finement les risques des entreprises inscrites sur cette plateforme de peer-to-peer lending, tant sur le plan privé que le plan professionnel.

      Ces dernières doivent ainsi remplir de nombreux critères afin de pouvoir bénéficier d’un tel prêt. Pour certaines, un garant est obligatoire. À ce jour, sur BTB, seul 9 % des entreprises inscrites a eu le privilège d’être référencé.

      Les sommes investies par les épargnants seront destinées à des PME, tous secteurs confondus. Ce qui favorisera alors le développement de l’activité de ces entreprises israéliennes.

      Cette nouvelle solution d’épargne en NIS permet aux investisseurs de prêter des fonds simultanément à plusieurs entreprises inscrites, de manière plafonnée. Cet investissement moyen terme procurera des coupons bruts de 6,5 %(moyenne annuelle). Ces derniers sont versés tous les mois. Il est de plus possible de capitaliser les intérêts.

      Au premier trimestre 2021, la plateforme comptait plus de 1000 entreprises et 5000 épargnants. Le montant investi s’élevait quant à lui à plus de 800 millions de shekel (environ 200 millions d’euros).

      Pallier le défaut de paiement des entreprises en P2P 

      Puisqu’il s’agit d’une dette privée, le risque de défaut de paiement est plus élevé. Il peut donc arriver que des entreprises n’arrivent pas à tenir leurs engagements. Pour y faire face, plusieurs mécanismes de protection sont mis en place.

      Tout d’abord, une caisse de caution mutuelle, à laquelle les investisseurs participent, est prévue. Cette caisse a pour but de payer le capital avec un taux d’intérêt si une telle situation venait à se présenter. Elle a, depuis sa création, pu y pallier, malgré un taux de défaut historique de 2,59 %.

      Ensuite, la totalité du capital investi n’est jamais placée sur une seule entreprise. Les sommes déposées sont réparties de façon automatique sur plusieurs centaines de prêts. Elles ne dépasseront pas 2 % par entreprise. Cette diversification permet ainsi de diluer le risque.

      Une défense juridique peut enfin s’enclencher par la plateforme contre l’entreprise dans un tel cas.

      Pour une meilleure garantie des remboursements, une option dite Gold assure un capital investi totalement garanti par des biens immobiliers hypothéqués ainsi que des garants.

      À qui s’adresse le peer-to-peer ?

      Ce type de financement participatif s’adresse aux épargnants souhaitant diversifier leur patrimoine à travers un placement liquide, au rendement intéressant, stable et régulier. Il peut s’agir également de particuliers désireux de préparer leur retraite grâce à des revenus complémentaires, obtenus sur la durée. Enfin, ce placement ne demande aucun souci de gestion.

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        Visite du vignoble du Domaine du Castel

        En ce dimanche 26 décembre 2021, c’est au Domaine du Castel, un charmant vignoble en Haute Judée, proche de Jérusalem, que nous nous sommes réunis afin de participer à une visite et une dégustation de vins.

        L’histoire du Domaine du Castel est surprenante tant elle est le résultat à la fois du hasard, du travail mais également de valeurs de sionisme. Elie Ben Zaken, originaire d’Alexandrie, a immigré en Israël dans les années 70 depuis Milan. Il avait pour rêve de travailler la terre d’Israël et de la faire fructifier. Après avoir acheté un bout de terrain près de Jérusalem, il planta son premier vignoble en 1988 et obtenu sa première récolte quatre années plus tard. Non certain de la qualité de ses premières bouteilles et dans une quête de perfection, Eli envoya une bouteille au directeur de la Maison de Vente aux Enchères Sotheby à Londres. Ce dernier su convaincre Elie de la qualité de son vin et l’encouragea vivement à continuer son entreprise. Le vignoble Castel, faisant référence aux forteresses de l’époque des croisades, était né.


        De quoi avons-nous parlé ?

        Après avoir profité de la dégustation, nous nous sommes penchés sur l’activité, l’actualité et la fiscalité immobilière en Israël, en collaboration avec l’expert-comptable et fondateur du cabinet Assuline & Co, Moshe Assuline. Tout d’abord, nous avons rappelé quelques chiffres clefs sur l’économie du pays afin de mieux comprendre l’écosystème dans lequel nous évoluons. Avec un PIB de 6,3% et un taux de chômage à 4,5% en novembre 2021, le pays fait preuve d’une grande résilience et les effets de la fin de la crise sanitaire se font ressentir. 

        Par la suite, nous avons présenté différents tableaux comparatifs entre plusieurs types d’investissements immobiliers. De cette manière, nous avons pu introduire les investissements de type « club-deal » et détaillé trois de nos opérations immobilières. 

        Nous avons également tenu à présenter notre conviction, celle d’investir dans le Negev. Ce désert couvre près de 60% de la surface du territoire et pourtant n’est occupé que par moins de 10% de la population d’Israël. De très grands projets d’investissement lui sont consacrés afin d’y développer son centre académique, son parc High-Tech et le tourisme. 

        Herez Israël, en partenariat avec Sandy Madar, CEO de Negev Inside, partagent donc la même vision que David Ben Gurion et voient dans le désert du Negev à la fois une opportunité financière mais aussi un engagement sioniste.

        Pour conclure, une vingtaine d’investisseurs présents ont pu bénéficier d’une présentation des Pépites Herez – notre sélection des projets immobiliers qui présentent un rendement élevé ainsi qu’un ratio bénéfice/risque particulièrement intéressant.

        Pour découvrir nos futures sélections, ne manquez pas nos prochains événements !

        Ê T R E – R A P P E L É ?

         

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          Assurance épargne : sécuritaire, mais pas seulement

          La gestion de ses actifs financiers est un sérieux enjeu patrimonial pour un ole hadach de même que pour un israélien d’origine. Les solutions adaptées aux besoins des familles sont souvent peu ou mal connues. Pour être pertinente, une solution d’épargne doit assurer un complément de revenus à l’épargnant au terme d’une période prédéfinie. Elle doit surtout établir une cohérence entre les rendements perçus et le lieu de résidence en termes de change.

          En ces périodes perturbées où la volatilité sur les marchés financiers est la plus haute jamais constatée, le bon sens est devenu un impératif pour ses investissements. Les épargnants franco-israéliens sont investis, en proportion encore trop importante, en dollars. Malheureusement, cela ne correspond pas à la réalité de leur quotidien, surtout après une année 2020 au cours de laquelle le dollar a perdu plus de 7 %  face au Shekel.

          En Israël, l’Écosystème Assurantiel affiche des performances et une résilience, cette année encore, de grande qualité. L’un des principaux fonds de l’une des compagnies que nous suivons affiche 4 % par an sur les cinq dernières années (2020 inclus).

          Les compagnies d’assurances sont au centre du système d’épargne et de retraite privée et publique en Israël, fondées pour la plupart avant la création du pays comme par exemple : Harel, Migdal, Menora, CLAL, Haphoenix.

          Placement solide et diversifié

          placer son épargne

          Les portefeuilles proposés par les compagnies se présentent comme des placements solides en Israël avec une allocation diversifiée et un risque maitrisé. Donnant accès à des produits exclusifs, jusque-là réservés aux institutionnels, comme des fonds non cotés prenant part dans des projets d’infrastructures israéliens (routes, stations d’énergie, etc…) et des projets de constructions immobilières.

          Autre avantage, les établissements assurantiels israéliens peuvent, sous certaines conditions, nantir la police d’assurance pour octroyer un prêt à l’épargnant à taux préférentiel.

          Cette solution évite d’effectuer des retraits sur le portefeuille, source éventuelle de fiscalité, et permet à l’épargne de continuer à fructifier jusqu’au remboursement du prêt.

          Nos convictions chez Herez

          • Performance en Shekel régulière
          • Liquidité de son épargne
          • Moins coûteux que le compte-titres classique
          • Actif diversifié et exclusif

           

          Il est essentiel d’avoir une épargne dans une compagnie d’assurance locale en Shekels afin de réduire le risque de change. Herez Israël accompagne les familles dans le choix de leurs placements s’inscrivant dans une stratégie patrimoniale globale sur mesure.

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